L’apogée des médiocres
La France devient folle : Toulouse, capitale du satanisme
Le spectacle de la compagnie des Machines de l'île a pris fin ce dimanche soir sur les bords de la Garonne à Toulouse. Les trois géants, Lilith la femme-scorpion, Astérion le minotaure et Ariane l’araignée, ont déambulé tout le week-end dans les rues du centre-ville. Certaines personnes ont même eu les larmes aux yeux devant ce show. Mais d'autres ont manifesté contre ce spectacle : l'événement était loin de faire l'unanimité !
A Toulouse, le 666, le nombre de la bête évoqué dans le livre de l’Apocalypse, était bien présent, tout comme un signe étrange qui est apparu en bord de Garonne, qui n’est rien de moins que l’une des trois clés de la Porte des ténèbres.
De plus, sur l’affiche faisant la promotion de ce spectacle satanique, on voit très clairement des églises en feu. Sûrement une série de coïncidences, il ne faut pas voir le mal partout…
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Par Phil Broq
Nous vivons dans un monde où les valeurs du Beau, du Bon et du Vrai se sont peu à peu étiolées, défigurées par l’intrusion corrosive de la médiocrité acceptée en vertu. Ces médiocres, ces minables, ces parasites – oui, ceux qui jadis n’auraient eu ni la grandeur d’âme ni la compétence pour diriger quoi que ce soit – ont pris désormais le pouvoir. Comment ? par des chemins insidieux, détournés, à coups de chantage et de corruption, visible à chaque instant de télévision qu’ils consomment sans modération. Tels leurs peuples avides et se vautrant dans ce maelstrom d’insanité où Le mérite n’a plus sa place dans leur monde. Ce sont les habiles manipulateurs, les esprits étriqués et sans envergure, les truands en tous genres qui règnent aujourd’hui en despotes d’une civilisation autrefois florissante. Quant aux vrais penseurs, les génies et les esprits éclairés, ceux qui pourraient encore redonner vie et dignité à cette société mourante, ils sont méthodiquement écartés, réduits au silence par ce triste programme de nivellement par le bas.
Les «puissants» actuels ? Ces usurpateurs qui n’ont jamais construit, ni même imaginé autre chose que l’appauvrissement collectif, nourri d’ignorance et de bassesse et se gavant du sang et des impôts des Français, tels des parasites insatiables. Ces mystificateurs ont érigé un monde où les talents sont bannis, les vrais méritants considérés comme des menaces, et les grandes œuvres méprisées. À leur place, une bande de fourbes fait l’apologie de la culture de l’absurde, du laid, du mensonge ; ainsi, l’usurpation s’installe et s’érige en norme, applaudie par un peuple dégénéré, dont l’abrutissement n’a d’égal que son insatiable appétit pour le vide.
Ceux qui osent encore réfléchir, se questionner, et percevoir la mascarade sont ostracisés, exilés dans les marges d’une société devenue insensible au génie, parce que, pour elle, l’intelligence, la vraie, est insupportable. Elle révèle la laideur d’une population qui se contente de ses propres ordures, comme des chiens se repaissant des restes d’un banquet médiocre et gras.
Qu’il est simple, pour cette caste mondiale de dirigeants, d’user de la manipulation de ces masses, hypnotisées par leur propre médiocrité, pour mieux imposer leur trilogie perverse : le laid, le mauvais, et le mensonge, érigeant l’obscénité en valeur et la laideur en esthétique. Sous couvert de modernité et de célébration culturelle, ils orchestrent des spectacles où le grotesque et le vide règnent en maîtres. Ainsi, les événements médiatisés, tels que les récentes cérémonies abjectes en tous points des «Jeux olympiques» ou cette absurde parade infernale qui s’est déroulée ce week-end à Toulouse, ne sont que des parodies déguisées en culture, financées outrageusement par les impôts de ceux qu’ils méprisent.
Mais en réalité, ce ne sont pas de simples divertissements innocents auxquels nous assistons médusés. Non, ce sont des démonstrations de puissance symbolique obscure, des spectacles dont l’unique but est d’ancrer plus profondément encore le malaise, la confusion, et l’apathie dans les esprits. Des machines à la gloire de l’enfer, des spectacles pornographiques et vils défilent sous nos yeux, et l’on s’émerveille, à grand renfort de subventions publiques, des démonstrations technologiques qui n’ont d’autre dessein que de glorifier le néant. La laideur est applaudie, l’absurde exalté, et les citoyens abrutis et dociles, observent ce sinistre carnaval, sans même percevoir l’ampleur de la manipulation qu’on leur étale devant les yeux.
Car le peuple, ce même peuple qui devrait résister, défendre la dignité humaine au nom des Droits de l’Homme, s’est lui-même laissé glisser dans un état de dégénérescence volontaire. Il accepte, il consent, il finance même, dans sa cécité volontaire, sa propre servitude.
Voilà des gens qui consomment avec voracité tout ce qu’on leur sert, aussi grotesque soit-il, aussi éloigné de toute valeur humaine. Ils acceptent le laid, le mauvais, le mensonge, non pas parce qu’ils y sont forcés, mais parce qu’ils n’aspirent plus à rien de mieux. Leurs idéaux se sont décomposés, lentement, empoisonnés par les images stériles, les mots creux et les idéologies fades qui saturent leur quotidien. Ils n’ont plus la force, ni même le désir, de s’opposer aux minables entités insipides qui les dirigent. Au contraire, ils les applaudissent, fascinés par cette fausse modernité qui n’a d’autre but que de les maintenir sous un joug invisible de ténèbres. Se sachant déjà condamnés par Dieu, ils se réfugient désormais en masse dans les bras de Satan.
Cet abandon des valeurs, qui ont fait la grandeur de notre civilisation, n’est pas un accident de parcours, c’est un agenda soigneusement orchestré depuis les loges obscures et mis en marche par les Young leaders et leurs maîtres du WEF. Sous le couvert de la modernité, de leur «progressisme» nauséabond et de la tolérance obligatoire envers les cancrelats, on inculque aux masses une célébration insidieuse du laid et du faux, de l’inutile et du nuisible. Les cérémonies tape-à-l’œil infamantes comme celles des J.O. de la déchéance morale, les spectacles vulgaires à la gloire de Satan comme à Toulouse avec leurs machines dégueulasses, les œuvres dites «artistiques» au lieu de pornographiques, ne sont que des parodies de créativité qui n’est pas une dérive, mais une stratégie délibérée et orchestrée.
Elle vise à effacer toute élévation, toute distinction entre le beau et le grotesque, le bon et le destructeur, entre le vrai et la falsification. Les minables scélérats qui se sont accaparés le pouvoir, conscients de leur propre vacuité, n’ont d’autre choix que de transformer le monde en miroir de leur propre insanité doublée de médiocrité, car le contraste avec la grandeur leur serait fatal. Conscient, comme leurs spectateurs de leur inutilité réelle dans la célébration de la vie et de la grandeur de l’Humanité.
Ainsi, dans cette comédie absurde, le peuple finance allégrement sa propre aliénation et il en redemande, le bougre ! Jamais rassasié d’être toujours plus humilié, bafoué et ruiné… Les dirigeants manipulent les esprits, détournent les valeurs et imposent leur vision dystopique avec une facilité effarante, sinon complice. Et l’on en vient à se demander si cette population, si étrangement docile, mérite encore autre chose que les illusions qui la tiennent sous perfusion. Et finalement si son suicide collectif, laissera à minima la place nette à ceux qui restent encore humains.
Il faut bien dire que, pour eux, la laideur est devenue un réconfort, l’obscénité un divertissement, et l’ignorance une seconde nature. Il y aurait tant d’exemples à citer actuellement et particulièrement depuis l’arrivée de Macron, que je vous laisse juste lire les «Unes» des médias pour le constater au quotidien. Faute d’éducation, ils sont redevenus des animaux aux instincts destructeurs. C’est vous dire l’état actuel de notre système éducatif, autrefois bastion de l’excellence, aujourd’hui devenu un théâtre de l’absurde où les ambitions sont étouffées sous le poids d’une égalité factice !
Les enseignants, garants supposés de la transmission du savoir, semblent dorénavant plus préoccupés par des idéologies gauchistes et dépravées de nivellement débilitant que par la formation de générations éclairées. L’inclusivité, voilà leur maître-mot ! Une «inclusivité» qui n’est que le prétexte commode d’une politique sans exigence, où l’on abaisse méthodiquement le niveau au profit d’une homogénéité misérable, étouffant dans l’œuf tout ce qui pourrait encore ressembler à une aspiration au dépassement.
Et en cherchant à «épargner» l’échec à tout prix d’une génération entière d’abrutis, importés à grand coups d’ONG et d’une caste d’enseignants, incapables de la moindre rigueur, on a vidé l’enseignement de sa substance. Finis, les attentes élevées, les défis à relever, les idées à débattre. À la place, une mascarade où l’on distribue des connaissances diluées, superficielles, réduites à des bribes informes ou des QCM. L’école d’aujourd’hui ne cultive plus l’esprit critique devenant un moule standardisé où le savoir et les valeurs se meurent.
Sous couvert de tolérance et d’inclusivité, ce que l’on propose aux «élèves», qui ne s’élèveront plus jamais n’est pas une éducation mais un passeport vers la conformité menant à l’inutilité. Qu’importent les talents, qu’importent les esprits brillants qui pourraient encore jaillir, ils seront rapidement noyés dans un marasme où l’uniformité est reine et la morale exsangue.
Le génie, l’audace, l’intelligence affûtée, tout cela est désormais suspect. Que fait-on de ces jeunes esprits curieux et prometteurs, ces rares perles qui auraient pu enrichir la société et la pousser vers l’avant ? On les étouffe. On les fait taire. On les chasse du pays. Car, pour le système éducatif actuel, la différence est une menace, l’esprit vif est à broyer dans l’œuf, l’autonomie et la réflexion sont des dangers.
Les talents, au lieu d’être stimulés, sont contenus, limités, et transformés en éléments interchangeables dans un système qui exècre l’individualité, par peur de se voir afficher pour ce qu’il est. Une fosse à purin ! L’innovation et la créativité n’ont plus leur place dans les classes ; elles sont reléguées au profit d’une homogénéité qui favorise la médiocrité, la vulgarité et l’agressivité. Celle de la Raie-publique en somme !
La mission originelle des enseignants, celle de former des esprits capables de réflexion autonome, de forger des leaders éclairés, est aujourd’hui trahie et bafouée. En renonçant à l’excellence au profit d’une inclusivité pervertie, ils forment, ou plutôt formatent, une génération entière d’ignorants, de larves incapables de penser par elles-mêmes, incapables de remettre en question le monde qui les entoure, incapable de distinguer le vrai du faux, le bon du mauvais, le beau du déchet.
Cette dérive est d’autant plus catastrophique que notre époque, plus que toute autre, aurait eu besoin de penseurs critiques, de visionnaires capables de proposer de nouvelles voies, d’utiliser les outils nouveaux pour le bien collectif et non pour la castration passive. Or, le système actuel ne forme plus que des clones aussi insipides que stupides, des êtres dépossédés de leur propre jugement, incapables de concevoir le monde au-delà du cadre étriqué qu’on leur impose. Et allant par milliers célébrer ces fêtes démoniaques avec une avidité vomitive.
Soyons clairs, il y a une complicité implicite entre les dirigeants et ces enseignants sans ambition. Car un peuple incapable de penser est un peuple docile, soumis. Et voilà exactement ce que l’on obtient par cette éducation affadie, insipide. En abaissant l’éducation, en ne valorisant plus la morale, on élimine la critique et on assure la survie d’un ordre qui maintient l’ignorance comme moyen de contrôle.
Le résultat est cette société de suiveurs, fiers de leur ignorance, regroupés en meutes ou troupeaux pour mieux se gargariser de leurs médiocrités, qui ne sauront jamais ce qu’ils ont perdu en n’étant jamais exposés aux vraies exigences de l’intelligence et du savoir.
Même les scientifiques, jadis porteurs d’un espoir de progrès et de bien-être pour l’humanité, se révèlent être, pour beaucoup d’entre eux sinon la majorité, des architectes de cauchemars. Sous prétexte de recherche et d’innovation, ils exploitent leur savoir pour créer des armes biologiques, des virus mortels et autres horreurs dissimulées derrière les portes closes de laboratoires ultra-sécurisés. L’avortement, l’eugénisme, l’euthanasie, la procréation assistée, le changement de sexe, la destruction de la vie dans toutes ses parties sont leur quotidien, leur gagne-pain. Leur quête de pouvoir n’a plus rien à voir avec la véritable science comme outil de connaissance. Elle est devenue une arme dans les mains de fous incontrôlables, une stratégie de contrôle par la peur, la terreur et la mort.
Ces laboratoires, où l’on bricole des agents pathogènes d’une létalité effroyable, ne sont pas des temples de savoir mais des sanctuaires de la corruption intellectuelle financés par l’armée et encouragés par les oligarques. Le respect de la vie humaine ? Remplacé par un calcul sinistre de domination, où chaque découverte est orientée vers l’instrumentalisation du vivant sinon son annihilation. Que ces pseudos «scientifiques», censés travailler au bien commun, aient désormais comme ambition de jouer avec la vie elle-même, de la manipuler jusqu’à la transformer en potentiel de destruction, voilà l’ultime trahison d’une éthique jadis au cœur de cette recherche.
Dans la recherche, les pires dérives sont dans la médecine, domaine qui devrait incarner le soin et la compassion, qui s’est muée elle aussi en un marché lucratif où la vie humaine est perçue comme une simple variable d’ajustement. Les patients ne sont plus des êtres à soigner, mais des clients à exploiter, jusqu’à leur décès de plus en plus prématuré. Les médecins, asservis à l’industrie pharmaceutique, prescrivent à la chaîne des «traitements» chimiques, souvent sans rigueur scientifique, au mépris des véritables besoins de leurs patients, mais enrichissant toujours plus leurs sordides actionnaires.
On pensait que cette dérive avait trouvé son apogée avec la fausse crise du COVID-19, où la médecine s’était davantage illustrée par la propagande que par la rigueur. Vaccins précipités, qui au final n’en sont pas, effets secondaires tueurs sacrifiant une large part des benêts allant se faire injecter, et étouffant tout débat contradictoire avec une morgue méritant une bonne punition.
La santé publique a été sacrifiée sur l’autel du profit et de la précipitation, par des êtres médiocres mais si imbus d’eux-mêmes et avides de royalties, que leur serment est factuellement celui des hypocrites, face à un pauvre Hippocrate surement retourné dans sa tombe. Ces médecins, qui devraient être les gardiens de l’éthique et de la vérité, se révèlent complices d’une industrie avide, trop occupés à engranger bénéfices et renommée pour se préoccuper des conséquences de leurs actes.
De minables usurpateurs, dont 10 ans d’études n’ont fait d’eux que des agents du mal dévoués qu’au saint pognon, sans remords ni remise en question. Des médiocres qui ne supportent pas qu’on leur montre ce qu’ils sont en réalité, tant leur haute perception d’eux-mêmes, les aveuglent et les confondent. Quant à ceux qui osent défendre une approche humaine et éthique, ils sont rapidement mis au ban, relégués au rang de parias dans un système qui privilégie l’avidité au détriment de la vie humaine.
Les pires usurpateurs de cette médecine tueuse, à mon sens, sont dans l’univers aseptisé de la chirurgie esthétique plastique. Catalyseur de ces immondices où il n’est plus question de célébrer l’individualité ni d’honorer la diversité des visages et des corps. Non, il s’agit désormais de transformer les êtres humains en créatures siliconées, modelées pour se conformer à des standards artificiels et grotesques. Des poupées hideuses, prêtes à exploser en répandant leur silicone sur la chaussée au moindre coup. Les chirurgiens, armés de leurs scalpels et de leurs seringues, façonnent ces clones monstrueux et sans âme, fabriquant une «anti-beauté» où tout ce qui faisait la richesse et la singularité humaine est impitoyablement effacé, lissée, dénaturée.
Le naturel est banni, l’authenticité méprisée, et l’être humain est réduit à une sorte de matériau malléable, un simple objet à remodeler au gré de standards éphémères de la mode. Ironiquement, ces nouveaux «canons», et pas de beauté, ne sont rien de plus qu’une vision uniforme et déshumanisante, où chaque visage devient une pâle copie des autres, une médiocre tentative de masquer leur être profond avec des artifices répugnants. Où dans cette course effrénée vers une esthétique sans vie, les chirurgiens ont perdu de vue l’essence même de leur art.
En quoi consistent-ils, ces praticiens de la perfection, sinon à détruire toute trace de l’individualité humaine, à imposer une laideur normalisée et glaciale qui n’inspire rien d’autre que l’ennui ou la fuite ? Ils se sont rendus complices d’un culte de la fausseté, annihilant chaque jour un peu plus la dignité de leurs «patients».
Là où le bât blesse, c’est que cette folie de l’artifice et du progressisme ne se limite pas seulement aux fêtes sataniques, aux cérémonies grotesques et à l’apparence hideuse. Elle est le symbole d’une tendance plus vaste, d’une entreprise de destruction systématique de nos ressources, de nos industries, et de notre patrimoine. L’argent public, celui-là même qui pourrait servir à restaurer la dignité de ceux qui peinent, à revitaliser les infrastructures essentielles, est gaspillé pour financer des extravagances artistiques qui n’ont d’art que le nom, des spectacles où la dégénérescence est sanctifiée comme s’il s’agissait d’un idéal. Les dirigeants détournent les fonds destinés au bien public, financent sans honte leur agenda destructeur, et se glorifient de «promouvoir l’art du lard» tandis que leurs citoyens s’enfoncent dans l’indifférence, dans la pauvreté, et dans le désespoir.
Car voilà la triste vérité : ces manifestations de laideur et de nihilisme sont des outils de soumission collective. Ces dirigeants, avec une précision diabolique, orchestrent une hypnose de masse, un défilé continu d’images, de sons et de symboles qui ensorcellent et captivent, rendant leurs citoyens incapables de distinguer la beauté de la laideur, l’art véritable de la farce culturelle. Chaque centime dépensé dans ces célébrations de l’enfer est un pas de plus vers une société dénaturée, privée de ses repères, incapable de résister à cette décadence qui la consume. En imposant cette trilogie satanique, ils bâtissent, pierre par pierre, un monde où l’émerveillement sincère n’existe plus, remplacé par une acceptation résignée de la bassesse et de l’artifice.
Ce n’est pas un hasard : c’est un programme bien ficelé, un agenda global dont l’unique objectif est de broyer toute forme de beauté, de bonté et de vérité pour instaurer un règne du laid et du futile, le tout financé avec l’argent de ceux-là mêmes qui en seront les victimes. Et ces citoyens, plongés dans une torpeur complaisante, continuent de payer, d’applaudir, et d’accepter, sans plus se demander pourquoi leur monde s’effondre dans cette parodie infernale orchestrée par ceux qu’ils ont élus.
Nous sommes les spectateurs passifs d’un monde où les valeurs du Beau, du Bon, et du Vrai se sont évaporées, détruites par les ambitions corrosives de la médiocrité. Ce règne grotesque est dirigé par des médiocres, des minables, des personnages sans envergure ni grandeur d’âme, qui, jadis, n’auraient pas même mérité un siège en bout de table.
Mais aujourd’hui, par des jeux de manipulation, de corruption et de chantage, ces imposteurs sont devenus les despotes d’une civilisation autrefois florissante. Le mérite ? Jeté aux oubliettes. Les vrais penseurs, les véritables génies, ceux qui pourraient encore ramener un semblant de dignité et de lumière, sont évincés et réduits au silence, méthodiquement écartés par ce programme implacable de nivellement par le bas de ces citoyens engoncés dans leur déni, les peuples avachis se vautrant dans leur médiocrité, qui, chaque mois, paient sans sourciller pour soutenir un système qui œuvre activement à leur aliénation. Ce n’est pas un don, c’est une contribution forcée au suicide collectif.
Dans ce théâtre sinistre, les citoyens ne sont pas des victimes, ils sont complices. Hypnotisés, ils ne voient plus qu’on leur impose cette laideur, qu’on leur vend cette illusion de «progrès». Non seulement, ils financent leur propre déchéance, mais ils l’applaudissent, y contribuant avec un zèle qui défie toute logique. Ils acceptent que leur argent serve à des cérémonies grotesques et stériles, à des spectacles où l’absurde est roi, tout en fermant les yeux sur la destruction de leur dignité, de leur beauté, de leur bonté. Ce suicide collectif n’est pas seulement toléré : il est activement encouragé, célébré, comme si le peuple trouvait un plaisir malsain dans cette dégringolade sans fin.
Ce n’est donc pas un hasard, c’est une stratégie, un programme et un agenda, comme je viens de le démontrer, dont l’objectif ultime est de broyer toute forme de grandeur et de sensibilité, de réduire chaque âme à un état de soumission aveugle, financé par les impôts de ceux-là mêmes qui en seront les victimes. Ce programme est orchestré par ceux qui savent que, tant que la population applaudit, tant qu’elle paie et consomme sans réfléchir, ils pourront continuer leur sinistre entreprise sans entrave. Alors, vous voulez continuer à payer ou vous allez commencer à réagir ?
Ce suicide collectif, loin d’être simplement toléré, est activement célébré. Par leur torpeur, ils contribuent avec zèle à leur propre aliénation, à la suppression de ce qui fait la grandeur de l’humanité. Ils ne voient pas, ils ne veulent pas voir qu’ils sont les premiers artisans de cette décadence qu’ils ne feignent même plus de déplorer.
Face à cette lente dégringolade, cette déliquescence, ce déni de vie, reste une seule question : combien de temps encore continuerez-vous à financer, à applaudir, à participer, et à céder votre dignité et votre âme sans jamais réagir ?
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Laurent Gerra : « Une minorité emmerde une majorité, le wokisme, le néo-féminisme, le véganisme m’emmerdent »
Lors de son passage dans l'émission "Quelle époque" sur France 2, animée par Léa Salamé, l'humoriste et imitateur Laurent Gerra n'a pas mâché ses mots pour exprimer son indignation face à certains courants de pensée actuels.
Dans l’émission Quelle époque, Laurent Gerra s’attaque frontalement au wokisme et au véganisme, affirmant qu’une minorité dérange une majorité.
Selon l’artiste, une petite minorité impose des idées qui ne sont pas représentatives de l’opinion générale. « On ressent vraiment qu’une minorité emmerde une majorité », a-t-il déclaré, soulignant son désaccord avec ces tendances qu’il qualifie de « bien-pensantes ». Pour lui, ces mouvements, qu’il regroupe sous le terme « isme », créent une atmosphère de conformisme qui ne laisse que peu de place à la liberté d’expression.
- Source : Le Blog de l’Éveillé