Ueli Maurer, ex-conseiller fédéral suisse : « La pandémie était une hypnose de masse qui a bénéficié à l’industrie pharmaceutique »
Ueli Maurer, l'ancien conseiller fédéral (équivalent d'un poste de ministre en France), maintient des positions de plus en plus radicales, particulièrement en ce qui concerne sa critique de la gestion de la pandémie par les autorités fédérales. Sa détermination ne montre aucun signe de faiblesse, comme en témoignent les nombreuses apparitions publiques depuis son départ du Conseil fédéral.
Dans une interview accordée à Hoch2.tv à la fin de décembre dernier, Ueli Maurer a qualifié la pandémie « d’hypnose de masse et d’hystérie » délibérément entretenue. Il estime que dès le début, il était évident que la situation n’était pas aussi grave que présentée, affirmant que toute l’industrie pharmaceutique était complice de cette manipulation, générant des profits en exploitant la peur.
« Je n’ai jamais compris l’hystérie avec laquelle le monde entier se concentrait sur quelque chose. Et tout ce qui n’était pas sur cette voie était condamné. Les gens ont même été triés et cela m’a choqué. Une hypnose de masse a eu lieu, même s’il était clair dès le départ qu’elle ne pouvait pas être aussi grave qu’on le prétendait. J’ai compris que les gens étaient prudents les premières semaines jusqu’à ce qu’ils s’en rendent compte et acceptent les mesures, mais ensuite ils en ont pris beaucoup trop. Cela nous a coûté beaucoup d’argent et a plongé tant de personnes dans la misère psychologique. Tout cela commence petit à petit à se révéler. Nous, le gouvernement, avons prétendu que nous disposions de vaccins absolument utiles, et maintenant nous nous rendons compte : ce n’était que du vent ; plus d’air chaud que de contenu ».
Le rôle de l’industrie pharmaceutique et des médias
Pour Ueli Maurer, « l’industrie pharmaceutique était derrière tout ça ». Il affirme que le gouvernement fédéral, auquel il appartenait, a réagi de manière excessive, induisant le public en erreur sur l’utilité absolue des vaccins. Il accuse également les médias :
« Une alliance contre nature de peur a émergé au sein de la population, dont les produits pharmaceutiques ont naturellement bénéficié. Les médias, et c’est là ce qui est inquiétant, n’ont fait preuve d’aucune critique et ont suivi tout en accord avec le gouvernement. J’étais un menteur en matière de vaccination, j’étais un complotiste, j’étais toutes sortes de choses, simplement parce que je posais des questions critiques. Je pense que le COVID a été un élément important pour pouvoir élaborer davantage de réglementations, mais aussi dans d’autres domaines. Et je crois aussi que les médias ont eu et ont encore une influence significative ici ».
Réactions indignées des responsables de la santé
Les déclarations radicales d’Ueli Maurer ont provoqué des réactions indignées de la part des responsables de la politique de santé. Barbara Gysi, présidente de la Commission de sécurité sociale et de la santé publique (CSSS), qualifie la remise en question des décisions gouvernementales « d’indigne d’un ex-conseiller fédéral ».
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Source : Ciel Voilé
- Source : Le Média en 4-4-2