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Lundi, 29 Avr. 2024

Cerbère/Madrid : Davos réduit notre empreinte carbone – par le feu

Auteur : Modeste Schwartz | Editeur : Walt | Mercredi, 19 Avr. 2023 - 18h38

Le feu a décidément des vertus inestimables : il peut faire comprendre au sens-dents que s’ils n’arrêtent pas immédiatement de gaspiller l’eau, leurs forêts – dans lesquelles ils n’auront bientôt plus le droit de se promener ou de couper du bois – disparaîtront ; mais il peut aussi faire disparaître des documents qui auraient risqué de semer le doute dans leurs esprits complotistes.

Et c’est bien ce qui s’est produit, le 12 avril, à Madrid : au ministère de la Santé, un incendie aurait détruit les registres des politiques de vaccination et des confinements. Ces documents étaient pourtant sous bonne garde.

Les pompiers, évoquant la piste d’un appareil électronique défectueux, ont déclaré : « Il n’y a pas eu beaucoup de flammes, surtout de la fumée ». Un constat qu’on aurait d’ailleurs pu étendre à la pseudo-pandémie toute entière : beaucoup de fumées davosiennes, peu de flammes – en-dehors de celles des incinérateurs, en charge, elles aussi, de dissimuler des effets peut-être pas si secondaires que ça.

Feu le Covid : la trace carbone qu’il faut réduire, ce serait pas nous ?

Deux salles, deux ambiances : tandis que certains – dans une Espagne assez énervée par le scandale des vaccinations fictives de politiciens – échappent peut-être au bûcher grâce à ce mystérieux incendie, d’autres, suite aux feux de forêt dans les Pyrénées-Orientales, voudraient aller plus loin que les mesures du Plan eau de Macron.

Des esprits malintentionnés pourraient faire remarquer que la mortalité liée aux « AVC climatiques » – fortuitement concomitante aux campagnes d’injection –, a permis de réduire l’empreinte carbone des gueux…en faisant disparaître des gueux.

Toute catastrophe est bonne à prendre tant qu’elle peut servir le Great Reset : qu’il s’agisse d’économiser l’eau pour sauver Gaïa en éteignant des feux de forêt – après tout assez courants au printemps dans les pinèdes du Sud de la France – ou de sauver les miches des ayatollahs espagnols de la piquouse magique censée faire vivre éternellement.

Le ressort est le même : ce qu’on vous vend implicitement, dans les deux cas, c’est l’illusion d’une préservation du vivant qui le rendrait immuable, éternel et intouchable : un état que des complotistes comme Modeste Schwartz assimilent facilement à la mort. Le carbone étant la matière première du vivant, la « réduction de l’empreinte carbone », c’est un programme qui, dès sa formulation, sent bon sa solution finale.


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