La peste Soros sévit au Sénégal

Le voyou qui a fait sauter la Banque d’Angleterre en un coup de fil et ruiné l’Asie du Sud-Est (Malaisie…) se retrouve avec son Open Society en train de détruire la jeunesse africaine en promettant des merveilles alors qu’il n’est question que de corruption des mœurs et des valeurs. Le financiers des dégénérées catins Femen et Pussy Riot, le milliardaire apatride pseudo philanthrope ne peut rien faire gratuitement. Ne pas oublier la fameuse phrase de Napoléon : celui qui finance est celui qui commande car la main qui donne est au dessus de la main qui reçoit ! De plus, ceux qui croient êtres plus malin que le Malin, il faut qu’ils comprennent que le Diable est plus intelligent et bien plus rusé car comme dit l’adage populaire : celui qui dîne avec le diable soit se munir d’une longue cuillère. Pour notre part, nous ne dîneront jamais avec le diable car nous savons qu’il est trop fort, on préfère le combattre de toutes nos forces. Pour finir, l’argent de la finance spéculative usuraire est illicite, autant accepter celui de la traite des blanches, de la prostitution et de la drogue. En espérant que nos frères africains se séparent de cette crapule sans nom est extrêmement dangereuse pour leur bien.

Le bailleur de Osiwa à Dakar : Y’en a marre a reçu le milliardaire Georges Soros

Y’en a marre a reçu, hier, à son Quartier général, la visite du fondateur d’Osiwa (Open society initiative for West Africa), Georges Soros, et ses collaborateurs du Conseil d’administration. En effet, exposant à ses hôtes de marque l’évolution et les perspectives du mouvement, Y’en marre, dans la collaboration avec l’organisation dont le milliardaire américain, So­ros, est bailleur, a sollicité des fi­nancements pour un certain nom­bre de projets dont la mise sur pied de l’Observatoire national de la démocratie et des droits hu­mains.Cette cellule de «veille» et d’«alerte» sera à terme un «ga­r­de-fou» pour la démocratie sénégalaise qui ne dispose toujours pas d’une structure de veille assez représentative. Ainsi, avec la création d’un site de monitoring, Fadel Barro, Thiaat et Cie entendent impliquer davantage les populations, d’abord dans leur localité, dans leurs activités. En vue de s’assurer de la bonne marche du processus, des «Jurys itinérants» seront créés ; lesquels vont organiser des fora afin de confronter les élus à leur population. L’objectif est d’appréhender ensemble les problèmes qui seront identifiés à l’issue de ces discussions.

Aussi, le mouvement contestataire, qui a fini de faire des émules dans tout le continent (c’est ce qui lui a valu la visite de Soros et de Osiwa), veut-il élargir ses bases au niveau continental. De concert avec les mouvements Y’en a marre qui se créent un peu partout dans les pays d’Afrique, les Y’en a marristes envisagent d’organiser une «Foire aux problèmes africains» le 25 mai prochain à Addis-Abeba à l’occasion du cinquantenaire de l’Union africaine pour rappeler aux dirigeants les attentes des peuples. Un projet pour la réussite duquel Y’en a marre sollicite l’appui d’Osiwa et son bailleur. Tou­te­fois, pour des raisons de  commodité dans leur mission, Fou Ma­la­de a plaidé pour l’érection d’un siè­ge accessible. Au terme de leurs échanges, les Y’en a marristes ont fait de Georges Soros leur «porte-parole» auprès du président de la République qui préside, aujourd’hui, l’ouverture du conclave du Conseil d’administration d’Osiwa, afin qu’il «s’acquitte de ses engagements» et qu’il délivre, comme promis à Y’en a marre, son récépissé.