L’AIPAC, le lobby sioniste Israélien, définit la politique étrangère US pour le proche orient (Vidéo)
L’AIPAC, le lobby sioniste Israélien, définit la politique étrangère US pour le proche orient. Tout candidat à la présidence des Etats-Units doit impérativement faire allégeance à Israel, sinon il ne peut pas devenir président ! Et comme en France, les sionistes maitrisent la majorité des grands médias.
Deux éminents universitaires américains publiaient une analyse fracassante du rôle joué par le lobby israélien dans la définition de la politique étrangère des États-Unis.
John J. Mearsheimer (professeur de sciences politiques à Chicago) et Stephen Walt (professeur de relations internationales à Harvard) soulignaient notamment que l’influence de l’American Israeli Public Affairs Committee (AIPAC) avait plusieurs fois conduit les dirigeants américains à entériner des options stratégiques contraires à l’intérêt et à la sécurité des États-Unis.
Fantasme ou réalité ? Le lobby juif – ou, pour être plus précis, le lobby israélien – ferait la pluie et le beau temps à Washington.
Les États-Unis sacrifieraient leur intérêt national au profit des ambitions de l’État d’Israël. C’est à Jérusalem que seraient prises les décisions de la Maison Blanche et du Congrès.
Voilà une vérité d’évidence, soutient en 1974 le général George Brown, président du comité des chefs d’état-major. Les juifs, déclare-t-il en public, « possèdent, vous le savez, les banques et les journaux de notre pays ». La communauté juive « jouit d’une influence exagérée sur le Congrès des États-Unis ». Des livres, des articles, des propos reprennent l’antienne.
Le lobby, souvent affublé d’un L majuscule, dépasse par son influence tous les autres groupes de pression. Il porte atteinte à l’indépendance nationale, sape l’action internationale du pays, instaure par tous les moyens dont il dispose une connivence coupable.
- Source : PURFI