Surpopulation : Et l'on tuera tous les affreux
Les affreux, c’est nous, les serfs, la valetaille grouillante qui telle une nuée de sauterelles s’abattant sur un champ, épuise, salit, dévore cette planète qui pourrait être notre paradis.
SURPOPULATION, le débat qui fâche.
D’ici 40 ans, nous serons 11 milliards sur cette petite boule bleue perdue dans l’infini. Considérant le drame écologique déjà généré par une population de 7, il y a du soucis à se faire.
Une prise de conscience mondiale à tous les niveaux et une restriction volontaire et assumée du nombre d’enfants semble nécessaire. Mais surtout, un bouleversement total de la répartition et de la gestion des ressources serait indispensable et urgent.
Si nous considérons la société humaine, que savons-nous ?
1) Que le confort et la satisfaction des besoins entraîne une baisse de la natalité
2) Que ce sont les régions les plus pauvres qui font le plus d’enfants
3) Que les plus gros consommateurs de ressources, les plus pollueurs sont, et très largement, les pays développés
La solution la plus logique serait donc de faire un reset et de changer le système d’exploitation.
Ceci est un doux rêve. Les gavés de la terre ne sont pas prêts à quitter le banquet. Pour ces élus ou auto-proclamés tels, la masse grouillante de la plèbe, ces affreux, sales et bruyants dont les échos braillards montent vers eux, en gâchant ce qui pourrait être leur paradis est LA CAUSE. Pas le système qu’ils ont mis en place. Et ce n’est pas une accusation gratuite.
Nous nous interrogeons sur la politique ou l’absence de politique volontariste vis à vis de l’Afrique, ce continent miné par la faim et les maladie ?
Nous nous interrogeons sur l’éventualité d’une guerre planétaire ?
Nous nous interrogeons sur les chemtrails, sur le contrôle insuffisant de l’alimentation ou des substances chimiques et autres poisons délétères sur l’organisme ?
Nous nous interrogeons sur les vaccins ?
Sur ces pandémies qui surgissent de nulle part ?
Sur ces guerres meurtrières allumées et attisées un peu partout ?
Et soyons carrément paranoïaque… A quoi pourraient bien servir les installations du type HAARP, installées en Alaska (officiellement fermées cet été), en Australie, et probablement en Chine et en Russie, sinon hors applications spécifiquement militaires à créer de puissantes perturbations dans les équilibres électro-magnétiques terrestre ? On a pas de preuves, mais on soupçonne ce système de pouvoir déclencher des catastrophes apparemment « naturelles ». Et si c’était vrai ?
« Ces objectifs ne sont pas bien sûr avoués par les américains, car ils sont contraire à la convention ENMOD de 1977 qui interdit les modifications de la biosphère à des fins hostiles. Notons cependant que les nations-unis ont récemment, sur l’instigation des américains, exclu de leur ordre du jour les changements climatiques résultant des programmes militaires. Cependant, les USA n’ont pu empêcher quelques informations de filtrer, et cela a commencé à alarmer les autorités de certains pays. En février 1998, le Comité des affaires étrangères, de la sécurité et de la politique de défense du parlement européen a tenu une audience publique à Bruxelles au sujet de HAARP. Ce comité à présenté au parlement européen en 1999 une motion stipulant que « HAARP… en vertu de son impact étendu sur l’environnement , constitue une préoccupation mondiale… [le comité] demande que ses implications légales, écologiques et éthiques soient évalués par un organisme international indépendant… [le comité] regrette le refus réitéré des États-Unis d’apporter des preuves à l’audience publique concernant les risques pour l’environnement et le public du programme HAARP ». Cette requête fut rejetée sous le prétexte que la Commission Européenne ne disposait pas de la juridiction nécessaire lui permettant de s’immiscer dans les liens entre l’environnement et la défense. La vérité, c’est que Bruxelles ne souhaitait pas entrer en conflit ouvert avec Washington…
Asseyez-vous juste quelques minutes sur les trônes des « maîtres du monde ». Vous comprendrez à quel point ce que nous croyons être des folies sont, sous cet éclairage, parfaitement logiques et raisonnables à leurs yeux.
11 milliards d’individus, ce sera devenu ingérable, et ça leur fait peur.
A quoi rêvent les élites mondiales ?
Au regard de ce qui se passe actuellement dans nos société « dites évoluées » :
D’une planète dépeuplée, dépolluée et biotechnologiquement remodelée à leur goût,
d’une production entièrement robotisé,
d’une élite rendue inoxydable grâce à l’homme augmenté,
d’une plèbe hyper-contrôlée par des techniques sophistiquées et soumise à des lois d’airain.
Ce n’est pas de la Science-fiction. Si vous êtes attentifs à toutes les informations éparpillées qui circulent sur le net et que vous en faites la synthèse, vous l’aurez compris : tout se met déjà en place.
- Source : Galadriel