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Samedi, 21 Sept. 2024

Septembre 2001 aux États-Unis : Quelle fut l’origine des évènements ? (partie 2)

Auteur : Christian Darlot | Editeur : Walt | Vendredi, 20 Sept. 2024 - 14h58

«Viendra un temps auquel la postérité s’étonnera que nous ayons méconnu de telles évidences». – Sénèque

«La crédulité des dupes est un fonds inépuisable pour l’ingéniosité des coquins». – Edmund Burke

«Tout pouvoir est une conspiration permanente». – Honoré de Balzac

«La réalité a cet avantage sur la fiction qu’elle n’a pas besoin d’être vraisemblable». – Mark Twain

«On doit la vérité aux gens intelligents, mais on doit le mensonge aux imbéciles». – Georges Courteline

«Seuls les plus petits secrets ont besoin d’être protégés. Les plus grands sont gardés par l’incrédulité publique». – Marshall McLuhan.

«Le bobard dément prépare le bombardement». – Éphraïm Camember, 29 juillet 1881.

Résumé

Les attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis furent prétexte à des guerres dévastatrices, et la dynamique politique ainsi déclenchée s’est développée jusqu’à mettre la paix du monde en péril, tandis que la répression du terrorisme était prétexte à restreindre les libertés publiques. Les circonstances de ces attentats éclairent leur origine et leur dessein.

Christian Darlot est chercheur en Physiologie.

*

Un article précédent a montré que la version officielle de l’attentat contre le Pentagone et de la destruction des tours de Manhattan, en septembre 2001, est incompatible avec les lois de la Physique, mais qu’une analyse simple, fondée sur les principes de la Physique, permet d’identifier le procédé de destruction des tours : des explosions nucléaires souterraines. Ce procédé est inaccessible à un groupe terroriste, et son emploi nécessita des complicités dans l’appareil d’État et les médias. Comment ces évènements furent-ils possibles ?

Des coïncidences étonnantes accompagnèrent ces évènements extraordinaires.(1)

1. Coïncidences

1.1- Coïncidences à Manhattan

 Une société de sécurité du World Trade Center, Securacom, était dirigée par un frère de G.W. Bush, Marvin Bush, et son cousin Wirt Walker III, et une autre par un frère de Cheney. Une autre société, Kroll Incorporated, était dirigée par l’assureur des Tours jumelles, Maurice Greenberg (2). Or, le dimanche précédent, l’activité fut arrêtée dans les tours et le système de sécurité fut débranché pour des travaux de maintenance.

 Un exercice de réaction à une attaque terroriste biologique, Tripod II, était organisé à New York et programmé pour le lendemain, 12 septembre. De nombreux secouristes avaient été rassemblés depuis plusieurs jours, et un centre de commandement avait été installé sur un quai du fleuve Hudson. Ces préparatifs furent bien utiles, puisque le Bureau de gestion des urgences de New-York, situé dans la tour n°7, devint bientôt indisponible !

 Un des hommes les plus riches du monde, Warren Buffet, organisait ce 11 septembre un «petit déjeuner de charité» et un tournoi de golf sur le site militaire d’Offutt, siège de l’US STRATCOM (STRATegic COMmand, commandement des armes atomiques, doté d’un bunker souterrain à 18 mètres sous le niveau du sol), où George W. Bush passa au cours de l’après-midi. Cette base était aussi le poste de commandement d’un exercice en cours. Plusieurs dirigeants d’entreprises ayant leur siège dans les tours du WTC avaient été invités et étaient arrivés la veille au soir. Pour employer comme lieu de fête une base militaire très importante, l’assentiment du secrétaire à la Défense était évidemment nécessaire.

 Au matin du 11 septembre, la société de messagerie israélienne Odigo diffusa des messages enjoignant à ses correspondants de ne pas s’approcher du World Trade Center, ou de le quitter.

 Le spéculateur immobilier Larry Silverstein fut extrêmement chanceux (3). Il ne vint pas à son bureau ce matin-là, tandis que ses enfants arrivèrent en retard. Déjà propriétaire du bâtiment n°7, il avait acquis six semaines auparavant les tours jumelles, immeubles déficitaires, et les avait assurées séparément contre des attentats, chacune pour une valeur de 3,6 milliards de dollars (4). En compensation de deux attentats, les compagnies d’assurance et les compagnies de navigation aérienne lui payèrent 4,577 milliards de dollars pour les tours et 861 millions pour le bâtiment 7. Total : 5,4 milliards. Certaines gens sont des génies de la finance !

 Dans la tour Nord, le 91ème étage avait été loué quelques semaines auparavant par le groupe de «performance» Gelatin qui fit pendant quelques jours une «installation» : un hourd dépassant de la tour. Que se passa-t-il à l’intérieur ? En 1999, Jeffrey Greenberg fils de l’assureur des Tours jumelles Maurice Greenberg, devint PDG de la société de gestion de risques Marsh & McLennan, dont des bureaux occupait huit étages, du 93ème au 100ème. Les explosions se produisirent entre le 91ème et le 98ème étages ; 295 membres du personnel furent tués.

Après la première explosion dans la tour Nord, cinq hommes sommairement travestis en Palestiniens furent aperçus dansant et se filmant sur fond de tour en flammes. Signalés par des passants à la police (5) ils furent arrêtés, se déclarèrent Israéliens et proclamèrent que les États-Unis et Israël avaient les mêmes ennemis arabes. Ils furent identifiés comme agents du Mossad, agissant sous la couverture d’une entreprise de déménagement du New Jersey (6) connue comme une façade des services secrets israéliens, et dont le directeur s’enfuit aussitôt. Dix semaines plus tard, ils furent libérés par l’intercession de Michael Chertoff, procureur général adjoint anti-terroriste au département de la Justice, doté des deux nationalités étasunienne et israélienne (7). Expulsés des États-Unis, ils déclarèrent ensuite à une chaîne de télévision israélienne qu’ils étaient venus à New-York pour «couvrir l’évènement». Les pompiers prévoyants vérifient en effet le bon fonctionnement des pompes et l’étanchéité des tuyaux la veille d’un incendie.

 Le bâtiment 7 abritait des bureaux du département de la Défense, de la CIA (le plus grand hors de Washington) et d’autres agences (NSA, FBI), de la Security and Exchange Commission SEC (institution fédérale de contrôle des marchés financiers), de l’Internal Revenue Service (le fisc) et un dépôt d’archives judiciaires contenant, parmi bien d’autres, des dossiers sur la manipulation par ENRON des tarifs de l’électricité en Californie. Les documents sur ces malversations furent ainsi fort opportunément détruits.

Au 23ème étage, le centre de surveillance et d’alerte de l’agglomération new-yorkaise devait permettre de gérer en lieu sûr une crise grave (ouragan, attaque terroriste). Ce centre d’alerte fut détruit, mais par bonheur fut suppléé par le centre de commandement installé pour l’exercice Tripod II ! (8)

1.2- Coïncidences à Washington

 Un incendie eut lieu le 11 septembre au matin, non au Pentagone mais dans une annexe de la Maison-Blanche. Ce sinistre rarement mentionné paraît couvert par le secret.

En mars 2001, Bruce Hoffman, un dirigeant de la Rand Corporation, déclara à des officiers supérieurs de l’armée de l’air étasunienne : «Nous essayons de préparer nos armes contre Al Qaïda, l’organisation – ou peut-être le mouvement – associé à Ben Laden. (…) Pensez un moment à ce que fut l’attentat à la bombe contre le World Trade Center en 1993. Maintenant, considérez qu’il est possible de faire tomber la tour Nord sur la tour Sud et de tuer 60 000 personnes. (…) Ils trouveront d’autres armes, d’autres tactiques et d’autres moyens pour atteindre leur cible. Ils ont un choix évident d’armes, dont (…) les drones».

 Au Pentagone, des exercices de préparation des équipes d’intervention d’urgence, sigle Mass Casualty MASCAL, furent organisés : l’un en mai 2000, code Abbotsville, prévoyait la frappe d’un avion contre la façade Ouest, celle où l’explosion se produisit le 11 septembre 2001, l’autre entre le 24 et le 26 octobre 2000, prévoyait l’écrasement d’un Boeing 757 (9).

 Quelques jours avant le 11 septembre 2001, des experts en explosifs nucléaires du ministère de la Défense avaient été envoyés en Allemagne pour une visite de courtoisie. Colin Powell était parti pour deux jours à Lima, et d’autres personnalités du ministère étaient absentes, dont M. Dov Zakheim, sous-secrétaire d’État à la Défense et contrôleur budgétaire.

 Selon Zakheim, des milliards de dollars manquaient, pour l’année 2000, dans les comptes du département de la Défense des États-Unis, et des titres douteux venaient à échéance au 12 septembre, ce qui ne l’empêcha pas de partir en voyage, lui aussi en Allemagne. Un audit fut annoncé par le secrétaire d’État à la Défense, M. Donald Rumsfeld, et le matin même du 11 septembre 2001 des contrôleurs budgétaires commencèrent à enquêter sur ces détournements de fonds, en étudiant les archives du budget du ministère de la Défense, récemment transférées dans cette partie rénovée du Pentagone. Les archives brûlèrent. Dans cette aile du Pentagone venait aussi de s’installer un service de renseignement de la Marine, l’ONI (Office of Naval Intelligence), dont plusieurs membres furent tués. Officiellement 125 personnes furent tuées au Pentagone, et parmi elles 34 étaient comptables ou analystes, tous civils. Avis aux entendeurs.

 Ce jour même, pour des manœuvres de l’armée de l’air, des avions avaient été envoyés en mission dans toutes les directions. Les dates habituelles de sept exercices aériens avaient été modifiées pour inclure le 11 septembre parmi les jours de leur déroulement. Des exercices annuels en cours, Northern Guardian et Northern Vigilance, simulaient une attaque russe. Les chasseurs de la défense aérienne patrouillant habituellement au Nord-Est étaient donc partis en Alaska et au Canada. Le thème des manœuvres Vigilant Warrior et Vigilant Guardian était «des avions détournés frappent des immeubles», et une manœuvre de moindre envergure simulait l’écrasement d’un avion sur le siège d’une agence de renseignements. Des silhouettes d’avions fictifs étaient insérées sur les écrans parmi celles représentant des avions réels (10). Aussi les aiguilleurs du ciel peinaient-ils à distinguer la fiction de la réalité supposée. Ce jeu de guerre ne fut interrompu qu’une heure environ après les évènements à Manhattan.

 À l’occasion de ces manœuvres, des spécialistes de la défense aérienne avaient été déplacés (en congé ou en mission) et remplacés par des militaires sans expérience du poste auquel ils étaient provisoirement affectés. Ce bouleversement de l’organigramme du commandement fut évidemment décidé avec l’accord de chefs militaires haut gradés, par des fonctionnaires haut placés dont beaucoup avaient deux nationalités, étasunienne et israélienne, et étaient liés au «Project for a New American Century» PNAC (11). Ce cercle politique professait que seul un «nouveau Pearl Harbour» ferait accepter au peuple étasunien les actions nécessaires pour faire perdurer la domination mondiale des États-Unis(12).

 Selon des sources militaires, à cause de ces manœuvres, quatre chasseurs seulement étaient armés et prêts à décoller à la base d’Andrews protégeant la capitale, à une vingtaine de kilomètres de Washington. Les avions de chasse volèrent à des vitesses anormalement lentes, et les F-18 du Corps des Marines, basés aussi à Andrews, ne furent pas envoyés intercepter le prétendu Boeing 757 s’approchant de Washington(13).

 Alors que le pays paraissait attaqué, Donald Rumsfeld, joua au brancardier amateur. Il resta injoignable pendant une demi-heure et ne participa aux réunions qu’après 10 heures, une heure et quart après le début des évènements. Force est de conclure qu’il laissait les militaires prendre des décisions et assumer la responsabilité de la suite. Le secrétaire d’État à la Défense gambadant sur la pelouse... (14) Abandon de poste ; on en a démis pour moins que cela.

 La société AMEC Construction Management, qui venait d’achever des travaux dans cette aile du Pentagone (15) fut aussitôt chargée du déblayage par Donald Rumsfeld, sans appel d’offre. Outrepassant son pouvoir de secrétaire d’État à la Défense, Rumsfeld la fit aussi participer au déblayage des ruines du World Trade Center, à New-York (16).

 Les contrats avec l’État, liés aux guerres, rapportèrent plusieurs milliards de dollars à la société Halliburton où Richard Cheney avait exercé, entre deux épisodes politique (17). Contrats de gré à gré, bien entendu, dont, au mépris de la Constitution, une part revenait à Cheney.

1.3- Coïncidences économiques et politiques

 Des services de renseignement allemand, français, israélien, jordanien, marocain, russe, affirmèrent avoir prévenu les services étasuniens de risques de détournements d’avion, dès janvier 2001 et encore au cours de l’été (18). Qui intoxiqua qui ?

Les services d’espionnage anglo-saxon, dont le fameux ECHELON des «cinq yeux», prétendent détecter, par analyse sémantique, même l’emploi de termes voilés dans des messages. Ces préparatifs leur auraient pourtant échappé ?

 Un projet d’exploiter les réserves de pétrole et de gaz d’Asie centrale, étudié depuis plusieurs années, nécessitait de faire passer un oléoduc et un gazoduc à travers l’Afghanistan. En 1997, des délégués du gouvernement taliban furent invités au siège de l’Union Oil Company of California, Unocal, sis au Texas, État dont George W. Bush était alors gouverneur, mais ce projet buta sur les droits de passage demandés par les Taliban. En février 1998, John J. Maresca, ancien diplomate et personnalité éminente du Pentagone, alors vice-président pour les relations internationales d’Unocal, affirma au Comité des relations internationales du Congrès qu’un gouvernement afghan favorable aux États-Unis serait nécessaire pour que ce projet aboutisse. Quelques jours avant les attentats, les négociateurs étasuniens avaient menacé les négociateurs afghans d’une invasion (19). Selon le quotidien israélien Ma’ariv, les bases militaires étasuniennes bâties en Afghanistan après l’invasion jalonnaient le trajet projeté (20).

 Au cours des jours précédents, des achats de 5 milliards de dollars de bons du Trésor étasunien, et le volume inhabituel des achats d’options à la baisse des actions en bourse des compagnies aériennes, prouvent que des spéculateurs financiers anticipaient les attaques (21).

 Associées dans l’industrie pétrolière, les familles Bush et Séoud tenaient ce jour-là une réunion(22).

 Quoique les autorités étasuniennes aient interdit à l’aviation commerciale mondiale toute liaison avec les États-Unis, des ressortissants séoudiens purent quitter les États-Unis (23).

Un Boeing 707 s’envola aussi vers Tel Aviv.

 Deux centaines de ressortissants israéliens furent expulsées au cours des jours suivants (24).

 Une semaine après les attentats, des lettres contenant des bacilles du charbon, modifiés en laboratoire, furent envoyées à des personnalités politiques, dont les sénateurs Patrick Leahly et Tom Daschle, qui tentaient d’amender le Patriot Act. Vingt-deuxpersonnes furent contaminées dont 5 moururent. L’enquête incrimina le biologiste Bruce Irvins, 33 ans de service au laboratoire militaire de Fort Detrick mais «déséquilibré mental ayant agi seul» (un de plus !) et opportunément suicidé en août 2008 à la veille de son arrestation. Néanmoins George Tenet, directeur de la CIA en 2001, vante dans ses mémoires (2007) l’efficacité de cette agence pour retracer ces lettres piégées jusqu’à leur origine : Al-Qaïda. Pudiquement nommé US Army Medical Research Institute of Infectious Diseases, le laboratoire d’étude d’armes biologiques de Fort Detrick est devenu fameux par sa participation aux manipulations du virus du Covid.

 Des membres de la commission d’enquête sur les attentats participaient à des firmes pétrolières, à des compagnies aériennes, à Boeing, ou à des sociétés en lien avec la CIA, avec Larry Silverstein, ou dont l’activité dépendait de la situation politique, comme la compagnie de mercenariat Blackwater. D’autres furent ensuite compromis dans des scandales comme la faillite frauduleuse de l’institution de garantie immobilière Fannie Mac. La commission fut présidée d’abord par Henry Kissinger, qui démissionna pour ne pas révéler les noms des clients de son cabinet de conseil, puis par Thomas Kean, en relation d’affaires avec les familles Bush et Ben Laden (25). La commission était dirigée autoritairement par Philipp David Zelikow, qui rédigea le rapport final (26). Zelikow était un collaborateur proche de Richard Cheney, Condolizza Rice et Karl Rove, donc membre de l’équipe gouvernementale (27).

2. Disparition des avions

2.1- Complicités

Au début de juin 2001, le secrétaire d’État à la Défense, Donald Rumsfeld, modifia les procédures coordonnant l’aviation civile et la défense aérienne, établies depuis les années 60. Il retira aux commandants des bases le pouvoir de décider et se l’attribua à lui-même.

Les pirates de l’air auraient réussi à déjouer les services de sécurité de plusieurs aéroports et à détourner pas moins de quatre avions de ligne sans provoquer d’alerte. Nulle preuve de leur présence dans les aéroports ni à bord des avions ne fut présentée. La société de sécurité israélienne Huntleigh USA contrôlait les passagers dans les aéroports. Les procédures de sécurité à bord sont strictes, l’accès à la cabine de pilotage est réglementé, et le personnel navigant est attentif et entraîné à réagir aux incidents.

Ces habiles pirates ne savaient pas piloter ; tout au plus quelques-uns étaient-ils capables de faire des ronds dans l’air à bord d’avions d’écolage. Pourtant ils auraient pris les commandes d’appareils très complexes, qu’ils n’avaient jamais pilotés, et, pour changer de route sans être repérés, auraient débranché les «transpondeurs» assurant les communications, dont ils connaissaient donc le fonctionnement. Ils auraient volé à basse altitude pour ne pas être repérés par les radars civils, mais cette ruse ne permet pas d’échapper aux radars militaires. Des avions de chasse sont à tout instant prêts à décoller, interviennent plusieurs fois par jour, et mettent en moyenne un quart d’heure à joindre un avion s’écartant de sa route. Comment détourner quatre avions pendant 33, 49, 83 et 112 minutes, sur 500 km, sans être interceptés ? (28)

Ces impossibilités mènent à conclure que le détournement d’avion est un mensonge, en accord avec l’inexistence des frappes d’avion contre les tours de Manhattan.

Trois jours après seulement, le FBI publia sur une affiche les photos et les noms de 19 suspects, dont six étaient «supposés» pilotes et huit «présumés» Séoudiens. La date de naissance de sept seulement était connue, et la nationalité de huit ne l’était pas ; 6 habitaient en Arabie, Égypte, Maroc et protestèrent véhémentement contre cette usurpation d’identité qu’ils demandèrent aux consulats étasuniens de reconnaître en publiant un démenti.

2.2- Leurres

La chasse aérienne chercha en vain deux avions au-dessus de l’Atlantique. La confusion des vrais avions et des leurres insérés, pour les manœuvres, sur les écrans du contrôle aérien laisse planer le doute sur leur trajet et même sur leur envol. Décollèrent-ils ? Atterrirent-ils sur un aéroport discret mais doté d’une piste de longueur suffisante ? Ont-ils été démontés dans un hangar ? Ou même, scénario rocambolesque : furent-ils jetés dans l’Atlantique et les équipages récupérés par un navire croisant par-là ?

2.3- Avion détourné

Un avion fut peut-être réellement détourné, piloté par des complices. Il pourrait avoir atterri sur la base aérienne militaire Westover dans le Massachusetts, dont le personnel avait été averti la veille que la base serait fermée ce jour-là. De cet avion partirent les appels téléphoniques des hôtesses, dont les paroles paraissent avoir été choisies pour faire passer à demi-mots un message de détresse. Le sort de l’avion et des passagers est inconnu.

2.4- Appels téléphoniques

Plusieurs appels téléphoniques auraient été envoyés, en vol, par des passagers à leurs proches. Ces appels ont été si abondamment commentés qu’un résumé est inutile. Le plus célèbre est celui de Barbara Olson, seule personne à avoir décrit des pirates tenant en respect tout l’équipage et les passagers en brandissant des coupe-papiers. Des armes comme le pistolet Glock 17 sont conçues pour n’être pas détectées par les portiques de sécurité, mais les pirates auraient préféré des cutters contraignant au corps à corps ! L’enquête montra l’inexistence de l’appel téléphonique de ce seul témoin, Barbara Olson. En 2001 la technique ne permettait pas de communiquer par téléphones portables en vol, et les appareils de bords avaient été supprimés. Tous ces messages furent donc émis à partir du sol, y compris ceux des hôtesses. Le téléphone du passager censé avoir lancé le cri de ralliement «Let’s roll !» fonctionna encore pendant 15 minutes après l’écrasement de l’avion ! Les récits sur des appels prétendument envoyés par des passagers à leurs proches pendant le vol participèrent donc à la mise en scène.

2.5- Avion abattu

L’avion United Airlines 93 («Let’s roll !») s’écrasa en Pennsylvanie, officiellement près de Shankville, dont des habitants dirent avoir entendu un sifflement et une explosion. Les autorités locales ne trouvèrent que quelques débris, mais des morceaux furent trouvés à 14 km de là, près d’un lac. Le FBI boucla le site de Shankville et annonça que l’avion s’était enfoncé profondément dans le sol meuble (sic), puis qu’il avait été déterré, mais pas reconstitué selon l’usage. Les deux «boîtes noires», placées dans la queue de l’avion, auraient été trouvées à 3 m et 8 m de profondeur. Un avion-taupe (29). Cet avion fut vraisemblablement abattu par erreur, parce qu’il ne s’était pas posé assez vite après l’interdiction de vol.

2.6- Victimes

Le FBI interdit promptement de publier des informations sur les passagers, le vol, et même l’heure de décollage (30). Composer une liste de passagers bidon est au programme du premier cycle de barbouzologie (31). Des personnes furent toutefois vraiment tuées dans l’avion tombé en Pennsylvanie et vraisemblablement dans celui d’où partirent les appels des hôtesses.

2.7- Accusation

Le grand coupable, M. Oussama Ben Laden, fut officiellement désigné six heures après ; jamais enquête ne fut si rapide. Les télévisions et la presse battirent aussitôt furieusement du tam-tam, empêchant d’argumenter raisonnablement. Lancée dès les premières heures par des personnalités politiques, cette accusation ne put plus être discutée. Pourtant M. Ben Laden ne fut pas inculpé aux États-Unis pour ces attentats, dont il condamna la lâcheté le 16 septembre 2001, par un communiqué sur la chaîne d’information Al-Jazeera. Il était alors soigné à l’hôpital militaire de Rawalpindi, protégé par les autorités pakistanaises pourtant alliées aux étasuniennes. Le 28, il déclara à des journalistes du quotidien pakistanais Ummat : «Je n’avais pas connaissance des attaques, je ne considère pas le meurtre de femmes, d’enfants et d’autres êtres humains innocents comme un acte louable… Un gouvernement existe dans le gouvernement des États-Unis. C’est à ce gouvernement secret qu’il faut demander qui a organisé les attentats». Deux fois encore, il affirma n’avoir pas participé à ces attentats (32). Les vidéos où il s’en vante furent reconnues fausses par l’institut suisse Dalle Molle, dont l’expertise fait autorité pour authentifier des enregistrements audio et vidéo (33). Des revendications d’origine inconnue ne furent pas confirmées ensuite : étonnante discrétion de la part d’un mouvement terroriste supposé capable d’organiser secrètement, du fond d’une grotte, des attentats d’une telle ampleur (34).

Selon les notices nécrologiques publiées par la presse du Proche-Orient et par Fox News, puis confirmées le 19 janvier 2002 par M. Pervez Musharraf, président du Pakistan, M. Oussama Ben Laden mourut d’insuffisance rénale en décembre 2001 et fut enterré dans les montagnes au Sud-Est de l’Afghanistan. Pour le besoin de leur scénario, les organisateurs le firent survivre fictivement encore dix années (35).

3. Scénario imaginable

Les arguments physiques exposés dans l’article précédent ne pourraient être réfutés que par d’autres arguments physiques, mais l’interprétation des agissements humains présentée ci-dessous pourrait être révisée si de nouvelles informations étaient révélées. Quoique la vérité ne soit pas encore connue avec certitude – mais cela viendra – une vue rétrospective des faits permet de proposer un scénario cohérent et discutable, dont la critique argumentée permettrait de progresser vers une compréhension réaliste des évènements.

Deux groupes de personnes pourraient avoir organisé deux complots gigognes emboîtés (36) :

 Un «petit» complot, ayant pour instigateurs les Bush et les Séoud, aurait visé le Pentagone pour mettre en scène un attentat fictif contre un ministère d’État, afin de fournir un prétexte à envahir un pays souverain, l’Afghanistan.

 À l’insu de ses organisateurs, ce «petit complot» aurait été éventé par des agents d’un petit État côtier du Proche-Orient, qui auraient organisé un «grand» complot visant à contraindre les États-Unis à mener des guerres, non seulement pour le pétrole mais surtout dans l’intérêt de cet État, afin de détruire les capacités militaires et économiques des États voisins. Après les évènements, les organisateurs du grand complot auraient fait plier ceux du petit (37).

3.1- Destruction des tours 

Qui déclencha les bombes ? Les organisateurs du complot ou les chefs militaires ?

 Puisque chaque pays pratique le secret militaire, le nombre de bombes atomiques dans le monde n’est pas connu précisément. Elles ne paraissent pas aussi bien gardées que les humains sains d’esprit le souhaiteraient ; ainsi, lors de la dissolution de l’URSS, une partie de l’arsenal disparut, et pas seulement des chars ou des armes à feu. Les organisateurs pourraient ainsi avoir disposé eux-mêmes de bombes (38).

La multiplicité des manœuvres aériennes ce jour-là prouve le pouvoir des organisateurs sur le ministère de la Défense.

 Les chefs militaires sont en charge de la sécurité du pays ; ils s’attendaient à un attentat : pourraient-ils avoir été induits en erreur ? Au cours de l’été précédent, ils peuvent avoir fait entreposer des bombes thermonucléaires dans le bâtiment n°7, centre de gestion de tous les bâtiments du World Trade Center, afin de pouvoir procéder si nécessaire à une démolition d’urgence. Nul danger à stocker ce type d’explosif, tout à fait stable tant que les parties de la masse critique de la bombe-amorce restent séparées (39).

Leur réaction pourrait donc être imaginée ainsi :

«Alertés dès les explosions dans les tours, les chefs militaires ne crurent évidemment pas un instant à la fable des avions, mais supposèrent que des missiles étaient entrés dans les tours, et pas pour y placer des bombes à confettis. Ces chefs étaient à Washington, loin de New-York, ne disposant que d’informations partielles et sans les experts en explosifs nucléaires, mais ils faisaient face à un dilemme auquel ils avaient déjà réfléchi : risquer qu’une explosion nucléaire à 300 m au-dessus du sol, altitude idéale, ne détruise la ville, causant peut-être 10 millions de morts, ou bien détruire les tours en faisant certainement périr les personnes présentes, mais en détruisant ainsi les bombes supposées y avoir été placées par des missiles. La destruction mécanique d’une bombe nucléaire ne déclenche en effet pas d’explosion nucléaire. Afin de minimiser les pertes humaines, les chefs militaires donnèrent eux-mêmes l’ordre de démolition. Une heure fut nécessaire pour mettre en place les bombes dans les loges souterraines, sans doute via des tunnels partant du bâtiment 7, puis pour permettre aux opérateurs de se carapater en refermant les portes blindées. Ainsi, les bombes auraient été déclenchées sur ordre de chefs militaires ignorant le complot, et pas sur ordre des comploteurs».

Mouiller les militaires à leur insu serait très habile ; un trait de génie (de génie du mal !).

Comment estimer la vraisemblance de ce petit roman ?

Quoiqu’il en ait été, au cours de l’après-midi le bâtiment 7 (troisième tour) fut détruit par le même procédé, effaçant des indices sur la technique employée (40).

3.2- Choix imposé au Gouvernement

Pendant toute la journée, le président de la République étasunienne, M. G.W. Bush, fut promené en avion (41). Complice du petit complot ? (42) En activant le plan de «continuité du gouvernement» hors des conditions légales puisque le président était mis à l’écart volontairement, le Vice-président Richard Cheney et le secrétaire d’État à la Défense Donald Rumsfeld usurpèrent le pouvoir. Coup d’État. 

Le soir, devant le Gouvernement et les chefs militaires réunis à Raven Rock – le QG souterrain creusé dans les Appalaches – les organisateurs du grand complot donnèrent le choix aux autres dirigeants : obéir, ou supporter le poids d’une accusation tout prête, les incriminant mais disculpant les organisateurs. Les dirigeants accréditèrent la version qui leur fut dictée (43).

Depuis 2001, les dirigeants des États-Unis obéissent.

Les chefs militaires n’eurent d’autre option que d’obéir, eux aussi, aux ordres d’attaquer les pays du Proche-Orient (44). À chaque niveau de commandement, une vérité fut inventée pour le niveau inférieur (45). Quelques militaires furent promus (46). La vulnérabilité du Pentagone, le cafouillage de la défense aérienne, l’apparence d’une incompétence stupéfiante ternissant la réputation de l’armée étasunienne, furent le prix que les organisateurs du complot firent payer au pays pour qu’il paraisse agressé.

Omerta : l’irradiation de Manhattan pendant plusieurs mois était inavouable ; la panique eût emporté l’économie étasunienne.

Quoique spéculative, cette interprétation des évènements est fondée sur des faits avérés. La révélation de nouvelles informations pourrait évidemment conduire à la réviser, et sa critique argumentée permettrait de la préciser.

Conclusion 

Les moyens techniques, les coïncidences, et la biographie des participants aux évènements, montrent que les attentats du 11 septembre 2001 à Manhattan furent organisés par des services secrets des États-Unis et d’un petit État côtier du Proche-Orient, en lien avec une partie de leur gouvernement (47). Depuis 2001, les dirigeants des États-Unis obéissent à ceux de ce petit État.

Bien entendu, la plupart des ressortissants de ces États, grand ou petit, n’ont pas pris part à ces crimes. Cela va de soi, mais dans le trouble général mieux vaut le rappeler (48).

4. Puissances étatiques et supra-étatiques

4.1- Négociations internationales ; le prix du silence

Les réseaux de détection établis pour surveiller les essais nucléaires mesurent précisément, même à des milliers de km, les effets des explosions souterraines : ondes sismiques et émissions de radionucléides. Les dirigeants des principales puissances du monde, les membres permanents du Conseil de sécurité, ainsi que les dirigeants de l’Allemagne, du Canada, d’Israël, de plusieurs puissances moyennes et de groupes financiers, furent alertés le jour même et reçurent un rapport de leurs services de renseignement dans la semaine (49). Les effets détectés par des labos de plusieurs pays, ne furent pas rendus publique. Faute d’avoir la maîtrise des médias mondiaux et la puissance politique suffisante pour contredire la version officielle des évènements, les gouvernements de tous les États feignirent de la croire, et gardèrent leurs preuves en réserve. Après vinrent les négociations : d’un côté les demandes «Cessez de susciter des troubles dans le Caucase», «Ne vous mêlez pas de la situation au Tibet ni au Turkestan oriental», «Laissez-nous nos puits de pétrole en Irak», et de l’autre côté les menaces «Rappelez-vous que nous contrôlons l’information et la finance ; ne risquez pas d’être calomniés, déconnectés du réseau de paiement international ou soumis à des spéculations contre vos titres de dette»..

4.2- Conséquences politiques

L’attentat de Manhattan fut prétexte à promulguer des lois restreignant les libertés, à organiser la surveillance de masse et à déclencher des guerres, tout cela dans des délais si brefs qu’ils révèlent des textes déjà rédigés et des agressions déjà planifiées (50). Les lois coercitives furent ensuite étendues aux pays vassaux des États-Unis (51). Vingt ans après, «l’urgence sanitaire», «la menace sur le climat», «la lutte contre ‘la haine’ et ‘les fausses nouvelles’» servent de prétexte à imposer d’autres contraintes tyranniques. Un totalitarisme s’installe, surveillant sans cesse davantage les citoyens.

Les accords entre puissances ne valent que quelques années. Dès 2003, le refus opposé par les dirigeants de la France à l’agression contre l’Irak (52) décida les gouvernants anglo-saxons à spolier les firmes pétrolières française de leurs investissements en Irak, et à soumettre définitivement le rival millénaire. En mars 2003, Condoleezza Rice, alors conseillère du président G.W. Bush pour la sécurité nationale, déclara :

«Il faut ignorer l’Allemagne, pardonner à la Russie et punir la France».

En 2005, un autre coup d’État eut lieu, en France cette fois : l’AVC de Chirac fut l’occasion du retour de Sarközy au gouvernement (53) puis de sa promotion à la présidence (54). La France a depuis perdu toute indépendance. En résultèrent successivement le traité de Lisbonne, la vente de réserves d’or, la soumission de la France au commandement de l’OTAN, l’envoi de militaires en Irak et en Afghanistan, la participation aux agressions contre la Libye et la Syrie, contraires au Droit international et aux intérêts de la France.

Les présidents de la République française sont désormais des larbins de l’oligarchie mondialiste, choisis et promus par leurs maîtres. La soumission s’est aggravée depuis 2017. Le freluquet qui feint de diriger est un gauleiter en escarpins. Bateleur sans pensée, bonimenteur de foire, acteur récitant son texte, il applique les ordres reçus : vente à la découpe de l’industrie française, ruine de l’agriculture, répression violente des opposants par la police et la magistrature aux ordres, instauration d’un régime tyrannique, complicité dans la covidinguerie, mise en œuvre du pacte migrationniste, achat ruineux de titres de la dette étasunienne, aide active au régime installé en Ukraine par le coup d’État de 2014, et à présent adhésion servile aux sanctions contre la Russie et soutien à l’expansionnisme génocidaire israélien.

4.3- Réseaux oligarchiques

Ces évènements permettent d’apercevoir les desseins et les rivalités des mondialistes et des suprémacistes étasuniens et israéliens. L’empire du mensonge est celui de la finance. Par les participations croisées à leur capital, les firmes supranationales, industrielles et financières, sont intégrées en réseaux mondiaux. La rivalité les contraint à maximiser le profit, quelles qu’en soient les conséquences. Leurs budgets sont comparables, voire supérieurs, à ceux d’un État moyen (55). Elles entretiennent des services d’analyse, de programme, de corruption et d’action, mènent leur propre politique (56) et dirigent les gouvernements, au point à présent de choisir les candidats présentés aux électeurs et de changer à leur gré le résultat des votes. Les dirigeants les plus puissants se concertent, puis leurs représentants à Davos, au Bilderberg ou au G7, donnent force publicité à des projets prétendument généreux (57). Les arrangements sont couverts par une apparence de débat, et dictés aux institutions supranationales comme l’OMS ou l’Union européenne, qui les imposent aux États et ceux-ci aux citoyens.

L’oligarchie mondiale n’est évidemment pas coiffée par une «coupole» centrale dirigée par le capo dei capi omniscient, dont les ordres seraient inexorablement appliqués. Les personnes, les firmes, les États, ont de multiples intérêts pratiques ou idéologiques, parfois convergents, souvent divergents. Dans ces vastes réseaux de complicités et de duplicités, conflits et ententes alternent, et quelquefois de véritables complots se trament, comme lorsque deux banques s’entendent pour pousser une rivale à la faillite, se partager ses dépouilles et déclencher une crise permettant de rafler des actifs financiers ou des biens réels. Tantôt adversaires, tantôt alliés, les rivaux coopèrent pour de grands projets, comme l’illustre l’aggravation délibérée de l’épidémie de Covid (58): quelles que soient l’origine du virus à la mode et sa dangerosité pour les personnes faibles, la pandémie organisée a permis d’endetter les États et de donner aux grandes firmes des milliards créés sans contrepartie par les banques centrales qu’elles dirigent. Cette plandémie sert de prétexte aux dangereux vaxxins et au contrôle social nécessaire à la «Grande Réinitialisation» (59). Il est vital de comprendre les stratégies à long terme des puissants qui dirigent le monde à travers les pantins qu’ils ont placés à la direction des institutions supranationales et des États.

Les attentats à New-York et Washington datent de plus de vingt ans, mais les agressions en Ukraine et en Palestine leur redonnent de l’actualité. Les commanditaires ultimes sont les néocons, alliés aux mondialistes, qui ont organisé les agressions contre les pays arabes depuis 2003 et 2011, contre la Russie depuis 2014, et à présent perpètrent le génocide à Gaza. Leurs crimes se succèdent sans discontinuer depuis 2001.

L’analyse présentée dans ces deux articles peut choquer des personnes généreuses ; pourtant, dès lors que la conspiration est prouvée, ce ne sont pas les «complotistes» qu’il faut blâmer mais les comploteurs. Malgré leurs conflits, les factions oligarchiques s’unissent dans leur volonté de dominer les peuples. Les attentats sous faux drapeau, les coups d’État, les tensions internationales et les guerres participent à leurs stratégies. Comprendre leurs desseins et leurs méthodes est indispensable pour nous libérer.

Libérons-nous !

*

Sur la base d’un rapport de Carnegie Mellon (1997), une directive du président Clinton, PDD 63 du 22 mai 1998, institua la Presidential Commission on Critical Infrastructure Protection, «Commission présidentielle pour la protection des infrastructures critiques», chargée de recenser les moyens d’assurer le fonctionnement du pays en cas de troubles graves. Cette commission envisagea des attaques de pirates ou «d’États terroristes», et une illustration montrait un avion frappant des tours. Le 911 est le numéro d’appel d’urgence aux E-U.

*

1ère partie – Septembre 2001 aux États-Unis : Quelle fut l’origine des évènements ?

Notes:

  1. Une recherche par mots-clés permet de vérifier facilement, sur des sites internet officiels ou sur des sites de journalisme d’investigation, les faits cités ici ; exemples : Éric Laurent, « La face cachée du 11 septembre », Plon, 2004 ;
    Laurent Guyénot – https://reseauinternational.net/11-septembre-2001-la-theorie-du-complot-pirate.
    Des articles signés Michel Straugof, publiés en 2019 sur le site Le Saker francophone, exposent en détails la biographie de personnalités actives dans cette affaire, en particulier au ministère de la Défense étasunien.
  2. Selon l’usage, des contre-assurances avaient été conclues auprès d’autres assureurs, qui payèrent les pertes. Un autre dirigeant de Kroll Incorporated, Jerome Hauer, apparut sur CBS News quelques minutes après la chute des deux tours et déclara qu’elles s’étaient effondrées parce qu’elles avaient été frappées par des avions et que les incendies résultant avaient affaibli leur structure. Dès ce moment, il s’inquiéta aussi stabilité structurelle du bâtiment 7. Par ailleurs, Jerome Hauer est un sioniste notoire.
  3. Larry Silverstein se disait ami de Benjamin Netanyahou, Yitzhak Rabin, Ariel Sharon, Ehud Barak. Ehud Barak ancien premier ministre israélien se trouvait au moment même dans un studio de la BBC, à Londres, et déclara qu’il était temps de lancer une guerre contre la terreur. Il précisa qu’il connaissait le coupable «Oussama ben Laden» et savait où il se cachait – «en Afghanistan».
  4. Le désamiantage aurait coûté environ un milliard de dollar, et la mise aux normes de sécurité et de télécommunications, 800 millions. Le coût de l’investissement fait par Silverstein et ses associés, dont Frank Lowy (bail emphytéotique et quelques travaux) varie selon les sources de 14 millions de dollars (c’est peu !) à 3,6 milliards (c’est beaucoup !). Le plan de démolition des tours fut bien entendu transmis aux nouveaux propriétaires.
  5. Bernard Kerick, le chef de la police de New York avait reçu entre 2001 et 2003 des dons du magnat de l’immobilier Steven C. Witkoff, et le 26 août 2001, il rencontra en Israël le milliardaire Eitan Werthemeir qui lui accorda un prêt sans intérêt de 250 000 dollars. En 2007, il fut inculpé de fraude fiscale et de fausses déclarations.
  6. Des images montrent leur camionnette décorée de l’image d’un avion frappant une tour… réalité ou montage ?
  7. Chertoff interrompit une enquête sur l’attentat, menée l’agent du FBI Michael Dick qui s’intéressait à la société israélienne ZIM shipping, que son PDG Shaul Cohen-Mintz avait fait quitter des bureaux de 10 000 m² dans la tour Nord, une semaine avant le 11 septembre, en rompant son bail et renonçant à un dépôt de garantie de 50 000 dollars. Chertoff rédigea la version finale du Patriot Act, voté quelques jours après le 11 septembre 2001. Il mena aussi la procédure contre Zacarias Moussaoui, dont les avocats demandèrent l’accès à des documents classés confidentiels et le témoignage de prisonniers détenus à Guantánamo, prétendument membres d’Al-Qaïda. Les procureurs rejetèrent ces demandes, arguant de menaces possibles contre la sécurité nationale, prétexte fréquent depuis 2001. Face à ce refus, la juge Leonie Brinkema interdit aux procureurs de requérir la peine de mort. Moussaoui fut condamné à la prison à perpétuité pour terrorisme, malgré sa folie évidente et quoique l’accusation ait reconnu qu’il n’avait pas participé aux attentats du 11 septembre 2001. La mère de Chertoff, Livia Eisen, était l’un des premiers agents du Mossad. Comme chef de la division criminelle du ministère de la justice, Chertoff avait pour mission de recueillir des preuves et de poursuivre le crime, mais il supervisa l’envoi de l’acier des décombres en Chine et en Inde, et donc la destruction de preuves.
  8. Les professionnels de la sécurité voulaient un site moins exposé que le WTC, mais l’équipe municipale de Rudolph Giuliani imposa ce choix, très critiqué. L’aménagement, de ce centre de surveillance, pour un coût de 13 millions de dollars, avait été dirigé par Jerome Hauer, l’un des dirigeants de Kroll Incorporated, lorsqu’il était directeur du bureau de gestion des urgences (OEM) du maire Giuliani de 1996 à 2000.
  9. Pourtant un exercice sur la chute d’un avion sur le Pentagone avait d’abord été écarté comme trop peu réaliste.
  10. Avant de devenir sous-secrétaire d’État à la Défense, Dov Zakheim avait été, de 1987 à 2001, vice-président de System Planning Corporation, société créatrice d’un dispositif de guidage d’avions gros porteurs, et d’un logiciel permettant de faire apparaître des leurres sur des radars durant des exercices.
  11. Cf. les articles signés Michel Straugof publiés en 2019 sur le site Le Saker francophone. Le PNAC fut fondé par William Kristol et Robert Kagan, époux de Victoria Nuland qui organisa le coup d’État de 2014 à Kiev. Kagan est à l’origine d’une lettre ouverte du PNAC, adressée au président Clinton le 26 janvier 1998, pour demander une guerre contre l’Irak, déjà sous prétexte que ce pays aurait possédé des armes de destruction massive. En 2000, le document du PNAC Rebuilding America’s Defenses «Reconstruire les défenses de l’Amérique» présenta les armes biologiques ethniques comme un outil politiquement utile pour les États-Unis.
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