Des professeurs japonais du «Groupe d’étude sur les vaccins» dévoilent des effets secondaires «sans précédent» dans un communiqué de presse
201 maladies liées à la vaccination covid-19, avec des effets potentiels sur le cœur, les reins, la thyroïde, le diabète, le foie, la peau, les yeux, le sang, les nerfs, des maladies systémiques, des effets sur le cerveau, dont Creutzfeldt-Jakob, et les poumons, ceci inclus 3071 publications sur les effets secondaires.
Que des faits scientifiques.
Aussi comme cela est relaté par ces professeurs japonais, quelle que soit la pression de la censure (comme la subit le professeur Jean Marc Sabatier au CNRS), il faut informer les gens, ce en quoi ces chercheurs sont des véritables Samouraïs, c’est pour cela qu'il faut faire connaître leurs témoignages.
Je rappelle utilement cette baisse de la natalité, que personne n’explique (comme par hasard, quand on ne veut PAS voir, on ne voit pas…)
Amitiés - L’Amourfou
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«Ce type de rapport sur les effets secondaires des médicaments est sans précédent»
Le 11 janvier 2024, au Japon, le Groupe d’étude sur les vaccins a organisé une conférence de presse pour dévoiler les résultats critiques et inquiétants de son enquête initiale de six mois sur les effets secondaires des vaccins. Les résultats, présentés par un groupe d’experts médicaux réputés, sont tout à fait alarmants et attirent l’attention sur un large éventail de problèmes médicaux, allant du cancer aux troubles neurologiques.
Le professeur émérite Masanori Fukushima, de l’université de Kyoto, s’est penché avec insistance sur les divers effets secondaires mis au jour par l’étude. «Une analyse systématique de la littérature a révélé des informations choquantes», a-t-il déclaré, donnant d’emblée un ton grave.
«Des milliers d’articles ont fait état d’effets secondaires après la vaccination, touchant tous les aspects possibles de la pathologie humaine, de l’ophtalmologie à la psychiatrie». Notant l’ampleur de ces résultats, il a souligné que «ce type de rapport sur les effets secondaires des médicaments ou autres est sans précédent».
Plus précisément, le professeur Fukushima a mentionné des pics importants dans certaines pathologies à la suite des campagnes de vaccination : «Par exemple, le taux de mortalité ajusté à l’âge pour la leucémie a augmenté. Et il y a des résultats significatifs pour le cancer du sein, le cancer de l’ovaire, etc.», ce qui laisse présager de graves conséquences pour les maladies graves dues aux vaccins, contrairement à tout ce qui a été documenté jusqu’à présent.
La conférence de presse n’a pas hésité à évoquer la suppression de ces informations. «Les médecins japonais font de gros efforts, mais ils se heurtent à diverses obstructions», a fait remarquer le professeur Fukushima, mettant en lumière les courants sous-jacents de la censure médicale qui ont bloqué le discours professionnel sur les questions de vaccination.
En ce qui concerne les effets indésirables liés au cerveau, les preuves sont tout aussi troublantes, le professeur Fukushima déclarant que «les troubles mentaux, les symptômes psychiatriques, la dépression, la manie, l’anxiété, ont été évoqués en abondance, mais c’est sans fin». Il a souligné que le volume et la variété des problèmes neurologiques soulevés en réponse aux vaccins étaient imprévisibles : «Ce n’est donc qu’une partie du problème».
S’exprimant sur les implications de ces résultats, le professeur Yasufumi Murakami, de l’Université des sciences de Tokyo, n’a pas mâché ses mots concernant la responsabilité d’interrompre l’utilisation des vaccins sur la base de leurs effets indésirables. «Ce qui se passe lorsque l’on administre un gène toxique à un être humain est très clair. Il y a des cas qui se produisent une ou deux semaines après l’injection, mais il y a aussi beaucoup de cas qui apparaissent après un ou deux ans», a-t-il précisé, indiquant les risques à long terme liés aux affections induites par les vaccins.
La nouveauté de la réponse immunitaire au vaccin a également été un point majeur de la discussion, le professeur Murakami soulignant qu’«avec les vaccins actuels de type messager, une quantité importante d’IgG4 est induite», ce qui va à l’encontre des attentes d’une réponse vaccinale normale et pourrait interférer avec les fonctions immunitaires.
Le professeur Masayasu Inoue, professeur émérite à l’école de médecine de l’université d’Osaka, a réaffirmé la gravité et la nature imprévue de ces problèmes. «Il est sans précédent dans l’histoire de l’humanité qu’un seul vaccin fasse l’objet d’une littérature aussi abondante», a-t-il déclaré. Une telle déclaration attire l’attention sur le niveau historiquement inégalé d’inquiétude et d’examen des vaccins.
Le professeur Masanori Fukushima a conclu le discours par une critique qui donne à réfléchir, en soulignant la dissémination indiscriminée des vaccins à ARNm dans l’organisme. «Il ne sait pas où aller. S’il passe dans la circulation sanguine, il va au cerveau, au foie et aux reins», a-t-il expliqué, brossant le tableau d’une vulnérabilité systémique potentielle largement ignorée par le public et les professionnels.
Fukushima s’est ensuite penché sur le niveau de compréhension superficiel qui a guidé le discours actuel sur les vaccins. «Avec des fragments de ces connaissances, ils exagèrent les choses et pensent qu’ils peuvent aller de l’avant», a-t-il remarqué, faisant allusion à une confiance mal placée parmi les autorités qui promeuvent les vaccins comme sûrs et efficaces sur la base d’une compréhension incomplète des faits.
Appelant à une révision fondamentale des connaissances biologiques, il a déclaré : «Honnêtement, ils doivent revenir en arrière et refaire la biologie du collège au lycée et aux examens d’entrée à l’université». Ce conseil sévère implique que ceux qui sont à la tête des décisions n’ont pas les connaissances biologiques nécessaires pour comprendre l’ensemble des implications des vaccins.
Il a succinctement résumé la situation en reconnaissant l’état naissant de la médecine moderne : «Comme je l’ai mentionné précédemment, la médecine est encore immature». Cette note finale a servi à rappeler que le domaine médical doit adopter une approche plus circonspecte et axée sur la connaissance dans ses rapports avec les technologies médicales nouvelles et émergentes telles que l’ARNm.
Traduction: Crashdebug
- Source : Aussie17 (Australie)