Urgent : La police israélienne ne trouve pas de victimes d’agressions sexuelles lors de l’attaque du 7 octobre par le Hamas
La police israélienne fait face à des difficultés pour identifier les victimes d'agressions sexuelles présumées par le Hamas. Et pour cause, actuellement, aucune victime n'a été formellement identifiée. Un gouffre sépare le récit des médias mainstream de la réalité objective.
Les choses se compliquent sur le terrain de la propagande israélienne… Selon un rapport de Haaretz, la police éprouve d’énormes difficultés à localiser les victimes d’agressions sexuelles ou les témoins d’actes similaires qui auraient eu lieu lors des attaques du 7 octobre contre Israël par le Hamas. Le rapport souligne également que la police éprouve des difficultés à établir le lien entre les « preuves » disponibles et les victimes décrites.
???????????? ???????????????????????? - Le journal israélien Haaretz :
— Les Spectateurs (@les_spectateurs) January 5, 2024
« La police ne trouve pas de victimes d'agressions sexuelles à imputer au Hamas. »
« La police a des difficultés à localiser les victimes d'agressions sexuelles ou les témoins des actes de l'attaque du Hamas, et est incapable… pic.twitter.com/2aAGDhOpmq
Adi Edri, l’enquêteur en charge d’examiner les crimes sexuels présumés survenus lors de l’attaque, a déclaré que la police détient des indications circonstancielles laissant penser qu’il y aurait des victimes toujours en vie avec lesquelles elles n’ont pas encore pris contact. Problème de taille, il n’y a actuellement aucune victime identifiée.
La police israélienne lance un appel désespéré au public pour fournir toute preuve de violences sexuelles perpétrées par le Hamas et d’autres groupes de Gaza. Cette annonce étonnante survient une semaine après la publication par le New York Times d’un rapport détaillant des agressions sexuelles et des violations présumées commis par des combattants palestiniens après leur attaque contre le sud d’Israël le 7 octobre. Le rapport du New York Times se concentre principalement sur le cas de Gal Abdush, identifiée comme « la femme en robe noire ». Cependant, des membres de la famille d’Abdush ont contredit ces affirmations, indiquant qu’elle n’avait pas été violée.
Le rapport de novembre met en lumière comment des récits non vérifiés et inexacts sur l’attaque du Hamas ont conduit à la publication d’informations apparemment fausses. Certains détails fournis par des responsables israéliens et des volontaires ne concordaient pas, et l’armée israélienne a admis des erreurs dans au moins un témoignage. L’organisation de recherche et de sauvetage Zaka, fournisseur de témoignages aux médias, a également reconnu que certains membres ont peut-être mal interprété ce qu’ils ont vu, n’étant pas des professionnels de la pathologie.
Il ne reste finalement que le témoignage de la franco-isrélienne, Mia Schem, qui dit avoir été victime d’un type de viol qui n’est pas physique, mais plutôt étrangement infligé par le regard : « J’ai vécu un holocauste. Il me violait par le regard ! »
- Source : Le Média en 4-4-2