Cerbère/Madrid : Davos réduit notre empreinte carbone – par le feu
Le feu a décidément des vertus inestimables : il peut faire comprendre au sens-dents que s’ils n’arrêtent pas immédiatement de gaspiller l’eau, leurs forêts – dans lesquelles ils n’auront bientôt plus le droit de se promener ou de couper du bois – disparaîtront ; mais il peut aussi faire disparaître des documents qui auraient risqué de semer le doute dans leurs esprits complotistes.
Et c’est bien ce qui s’est produit, le 12 avril, à Madrid : au ministère de la Santé, un incendie aurait détruit les registres des politiques de vaccination et des confinements. Ces documents étaient pourtant sous bonne garde.
#EnPortada ???? | Se ha declarado un ????incendio en el edificio del Ministerio de #Sanidad, situado en el Paseo del Prado ????.
— Redacción Médica (@redaccionmedica) April 12, 2023
?????Según fuentes que han presenciado el suceso, el fuego se ha propagado en la sede del Consejo del Centro Económico y Social ????https://t.co/XHh8ebKPSM
Les pompiers, évoquant la piste d’un appareil électronique défectueux, ont déclaré : « Il n’y a pas eu beaucoup de flammes, surtout de la fumée ». Un constat qu’on aurait d’ailleurs pu étendre à la pseudo-pandémie toute entière : beaucoup de fumées davosiennes, peu de flammes – en-dehors de celles des incinérateurs, en charge, elles aussi, de dissimuler des effets peut-être pas si secondaires que ça.
Feu le Covid : la trace carbone qu’il faut réduire, ce serait pas nous ?
Deux salles, deux ambiances : tandis que certains – dans une Espagne assez énervée par le scandale des vaccinations fictives de politiciens – échappent peut-être au bûcher grâce à ce mystérieux incendie, d’autres, suite aux feux de forêt dans les Pyrénées-Orientales, voudraient aller plus loin que les mesures du Plan eau de Macron.
Des esprits malintentionnés pourraient faire remarquer que la mortalité liée aux « AVC climatiques » – fortuitement concomitante aux campagnes d’injection –, a permis de réduire l’empreinte carbone des gueux…en faisant disparaître des gueux.
Toute catastrophe est bonne à prendre tant qu’elle peut servir le Great Reset : qu’il s’agisse d’économiser l’eau pour sauver Gaïa en éteignant des feux de forêt – après tout assez courants au printemps dans les pinèdes du Sud de la France – ou de sauver les miches des ayatollahs espagnols de la piquouse magique censée faire vivre éternellement.
Le ressort est le même : ce qu’on vous vend implicitement, dans les deux cas, c’est l’illusion d’une préservation du vivant qui le rendrait immuable, éternel et intouchable : un état que des complotistes comme Modeste Schwartz assimilent facilement à la mort. Le carbone étant la matière première du vivant, la « réduction de l’empreinte carbone », c’est un programme qui, dès sa formulation, sent bon sa solution finale.
- Source : Le Courrier des Stratèges