1 https://www.youtube.com/watch?v=_x-...
2 https://coronavirus.jhu.edu/map.html
3 https://infodujour.fr/societe/51630...
4 https://infodujour.fr/societe/55137...
5 https://www.lemonde.fr/les-decodeur...
6 https://infodujour.fr/societe/55137...
7 https://www.heraldscotland.com/news...
8 https://www.youtube.com/watch?v=_x-...
9 https://smw.ch/article/doi/smw.2020...
10 Voir également : https://www.youtube.com/watch?v=Cud...
11 https://infodujour.fr/societe/51630...
12 https://www.journalofinfection.com/...(21)00392-3/fulltext
13 https://www.vidal.fr/actualites/261...
14 https://www.bfmtv.com/sante/covid-1...
Et si le vaccin était un moteur de l’épidémie ?
Actuellement nous constatons que de simples rhumes ou grippes sont difficiles à soigner. Il faut parfois plusieurs semaines pour guérir alors que quelques jours sont suffisants en temps ordinaire.
Il faut revenir sur cette notion d’anticorps facilitant les infections après vaccination.
Ces anticorps permettent au virus de pénètrer plus facilement dans les cellules, ce qui peut favoriser une infection.
Cette manifestation intervient quand il y a un déficit immunitaire qui est provoqué par une série de vaccinations induisant la réponse immunitaire.
L’affaiblissement va favoriser les inflammations qui sont responsables des états grippaux longs.
Les anticorps sont classés sous forme de igG1 à 4.
Le vaccin ne protège pas contre l’infection, ni la transmission, et sur les cas observés il a des effets secondaires. L"ANSM sépare les cas déclarés et signalés pour minimiser l’impact du vaccin sur les maladies et pathologies induites.
Dans le cas de maladies virales facilitées par un ADE ( aggravation dépendante des anticorps ), un vaccin peut provoquer la production d’anticorps qui aggraverait la maladie contre laquelle le vaccin a été conçu.
Il faut donc revenir sur le rôle des anticorps facilitants et de la baisse immunitaire.
Il y a quelques semaines, le Professeur Raoult a fait une annonce étonnante : la vaccination favoriserait les pics d’épidémie auxquels on assiste actuellement1. Pensez-y, les campagnes de vaccination n’ont jamais été aussi intensives, pourtant le nombre de cas positifs explose partout dans le monde !
Si l’on regarde les résultats à l’échelle mondiale disponibles sur le site de la Johns Hopkins2 : carte des cas positifs détectés… et le nombre de vaccinés = ce sont les mêmes !!! Depuis le début de la vaccination, il y a eu plus de 9,5 milliards de doses vaccinales injectées dans le monde, ce qui n’a PAS empêché le nombre de cas diagnostiqués positifs de continuer à grimper.
En conclusion, il semblerait bien que les lieux où la vaccination est la plus forte soit également les lieux où l’épidémie frappe le plus, comme l’annonçait le Pr Raoult. Cela laisse songeur… Pour expliquer ce phénomène, le Pr. Raoult a évoqué une diminution importante de l’immunité dans les deux à trois semaines après l’injection du vaccin. Autrement dit, une fois vaccinés, vous avez potentiellement toutes les chances d’être infectés par le virus ! Mais le Professeur a également évoqué une autre notion, que quelques autres médias et chercheurs commencent peu à peu à reprendre à leur tour : la théorie des anticorps facilitants !
.
Dans notre corps, il existe différents types d’anticorps :
Des anticorps dits “neutralisants”, qui participent à la lutte contre les virus
Des anticorps du « cycle cyto-trophique », anti-corps de régulation des cellules souches, qui n’interviennent pas dans l’infection
Et des anticorps dits “facilitants”, qui vont faciliter l’infection des cellules par les virus3 ! Donc des anticorps qui se retournent contre le système immunitaire pour en limiter les excès !
.
Nous avons eu l’occasion d’expliquer ce phénomène dans d’autres articles de ce site. Il faut d’abord comprendre que quand on perle d’immunologie, on est face à des phénomènes de « boule de neige ». Quand le phénomène immunitaire est déclenché, on ne connait ni l’ampleur qu’il prendra, ni la direction ! :
Dans ce schéma, on voit bien que les AC de 2e et 3e génération, dirigés sur le paratope de l’AC1 vont avoir un effet bloquant. De plus, ces AC contre le paratope (qui a la caractéristique du « moi ») peuvent être responsable de l’amorçage d’un phénomène d’auto-immunité !
.
C’est un phénomène étrange connu aussi sous l’acronyme ADE pour « antibody-dependent enhancement » ou « facilitation de l’infection cellulaire dépendant des anticorps » en français4. Cette facilitation de l’infection cellulaire peut se produire de deux manières différentes5 dans le cas du Covid :
.
1. Dans le premier cas, l’anticorps facilitant vient se lier à la protéine spike du coronavirus qu’il a repéré et appelle d’autres cellules immunitaires pour l’aider à détruire le virus qu’il a capturé. Or, l’anticorps facilitant peut laisser s’échapper le virus, qui va alors pouvoir contaminer les autres cellules immunitaires appelées à la rescousse.
.
2. Dans un second cas, les anticorps facilitants peuvent provoquer une réaction immunitaire excessive en appelant trop de cellules immunitaires à l’aide, générant ainsi une inflammation qui se retourne contre l’organisme.
.
Ces deux phénomènes surviennent principalement lorsque l’organisme rencontre le virus pour la deuxième fois… Or le rôle de la vaccination est justement de générer des anticorps, qui, placés au contact du virus une première fois, apprennent à le reconnaître et sont prêts à le combattre s’il venait à infecter l’organisme “pour de vrai”, une seconde fois.
.
Le but du jeu étant que la balance penche davantage en faveur d’anticorps neutralisants que d’anticorps facilitants, qui irait à l’encontre du rôle initial du vaccin. Tous les nouveaux vaccins anti-Covid actuels, basés sur la protéine Spike, produisent donc ces différents types d’anticorps6, mais surtout ces fameux anticorps facilitants ! Ce qui expliquerait les formes plus graves de Covid développées chez les personnes déjà vaccinées, qui apparaissent un peu partout7 !
.
Mais ce phénomène n’est pas nouveau, il s’est déjà observé avec la dengue (ou grippe tropicale)8. Résultat aujourd’hui, seules les personnes ayant déjà contracté le virus de la dengue sont vaccinées. Car il a été observé que les personnes d’abord vaccinées puis contaminées produisaient des formes beaucoup plus graves du virus, à cause des anticorps facilitants justement.
.
Idem, avec le virus de la péritonite infectieuse féline (FIPV) dont la vaccination augmente la sévérité de la maladie9. Et visiblement, il se passerait la même chose avec les vaccins anti-Covid !
.
Et il n’y a pas que le Pr. Raoult qui le dit10 ! Après quelques recherches, j’ai pu constater que le phénomène des ADE dans les vaccins anti-Covid est attesté par de multiples spécialistes ! En août 2021, le Pr. Jean-Marc Sabatier, docteur en biologie et microbiologie à l’université d’Aix-Marseille, concluait déjà : « Les vaccins peuvent produire les mêmes effets que le virus SARS-CoV-2 et se montrer capables de conduire à des maladies de la Covid-19. (…) L’immunité naturelle conférée lors d’une infection par le SARS-CoV-2 et ses variants apparaît nettement supérieure à celle conférée par une vaccination11 ».
Également en 2021, une étude énonçait déjà les dangers potentiels des anticorps facilitants avec les nouveaux vaccins anti-Covid12. Fin 2020, le Vidal, référence en matière de savoir pharmacologique, avait publié un article, craignant que les anticorps facilitants interviennent de manière néfaste dans la vaccination anti-Covid13. L’auteur recommandait de surveiller les niveaux d’anticorps, car il craignait qu’en cas de coronavirus endémique (ce qui est le cas), on observe “des bouffées épidémiques de formes sévères chez des personnes vaccinées”.
En avril 2020, l’ancien Premier ministre Edouard Philippe avait lui aussi évoqué cette possibilité, mais ses inquiétudes ont été balayées par le directeur de la Santé, Jérôme Salomon14. Cela fait donc 2 ans que ce risque est connu mais volontairement ignoré ! Malgré ces doutes, tous les pays du monde se sont lancés tête baissée dans de vastes campagnes de vaccination et de rappels.
Pour “parer au plus pressé”, ils ont préféré accélérer la mise sur le marché de vaccins expérimentaux, en écourter volontairement les essais cliniques pourtant nécessaires à leur création, imposer des doses à répétition sans en connaître les dangers, plutôt que de prendre du recul et de réfléchir aux failles potentielles de cette méthode. Une méthode qui pourrait aujourd’hui se retourner contre tous ceux qui se sont fait vaccinés au moins une fois.
Je me pose aujourd’hui la question : quelle est la réalité des effets indésirables dus aux anticorps facilitants ? Se pourrait-il qu’ils soient plus dangereux que ceux du Covid ? J’ai bien peur que sur ce sujet comme sur tant d’autres, la vérité se fasse attendre pendant des années…
Sources :
- Source : Géopolintel