François Hollande encore en baisse : c’est la France qui est mal !
J'ai beau chercher et encore chercher, je ne trouve toujours pas la moindre réalisation positive de ce gouvernement.
Un Premier ministre fantôme ; un ministre de l’Intérieur qui ne s’occupe plus de sécurité mais de quenelle en en faisant une affaire personnelle et qui, depuis quelques semaines, devient complètement fou en donnant par exemple son avis avant tout le monde sur la PMA ; une Taubira prise dans la tourmente avec l’affaire Falletti et j’en passe ! Pauvre Hollande, comment a-t-il bien pu s’entourer de pareils personnages ?
Pour le coup, il n’y en a pas un pour rattraper l’autre, les affaires se suivent et se ressemblent, entre bourdes, non-dits, et surtout lois ou projets destructeurs…
Hollande a dû apprendre qu’il a encore baissé dans les sondages. Vous me direz que ce n’est pas possible, lorsque l’on est à seulement 23 % d’opinions favorables, de faire pire. Eh bien si : 19 % d’opinions favorables en ce jeudi 6 février 2014 ; à combien sera-t-il les prochains mois ?
Jamais la France n’aura connu un président aussi mal aimé et désapprouvé par ses concitoyens – pire : par son propre camp (on pensera à Mélenchon ou aux Verts). S’ajoutent à cela ses affaires de cœur, avec tout le tintamarre suscité ! Mon Dieu, comment fait-il pour garder la face et tenir encore debout ?
Mettons-nous à sa place : que ferions-nous ? Personnellement, je claquerais tout, laissant Valls qui veut tout faire, et je partirais cheveux au vent en scooter avec ma Julie, voir si l’herbe est plus verte ailleurs. J’éprouverais presque de l’empathie pour lui, tellement il me fait de la peine.
J’ai quand même l’impression que quelque chose ne va pas… Je ne sais pas pour vous, mais je me demande comment il pourra tenir à ce rythme-là jusqu’en 2017. Dans quel état sera-t-il ? Mais surtout, dans quel état sera la France ? Car j’ai beau chercher et encore chercher, je ne trouve toujours pas la moindre réalisation positive de ce gouvernement.
Insécurité en hausse, ordre républicain gravement mis à mal, immigration de masse incontrôlée, disparition progressive de notre modèle d’assimilation qui laisse place à la montée du communautarisme, chômage qui n’arrive pas à baisser, usines qui continuent de fermer, délocalisations, fragilité économique, accroissement de la détresse sociale, accentuation de la soumission à l’Europe bruxelloise et à l’impérialisme américain, déclin de la souveraineté de la France.
Ainsi, rien ne va et il nous reste encore trois ans de hollandisme ! Une lueur d’espoir cependant lors des prochaines élections municipales et européennes, où il sera question de bien voter pour essayer de sortir de ce marasme généralisé.
Je suis en colère, oui, mais comme le dit si bien Richard Bohringer : « La colère, ça fait vivre. Quand t’es plus en colère, t’es foutu. » Alors oui, j’ai mal pour la France…
- Source : Boulevard Voltaire