« Guignol », « démission ! », « culot incroyable » : Les médias craquent (enfin) face au mépris macronien

Notre cher président a encore frappé. Alors que la France subit chocs sociaux et drames sanglants, le chef de l’État trouve le temps d’évoquer un prétendu "brain washing" plutôt que de répondre à l’urgence. Une sortie de plus qui confirme son don pour la provocation creuse.

Entre les émeutes, les crimes sordides et une colère populaire grandissante, Macron persiste dans son rôle de donneur de leçons déconnecté. Après le « traversez la rue », les « Gaulois réfractaires », sa volonté « d’emmerder les non-vaccinés » et le mépris pour « ceux qui ne sont rien », voilà que le président accuse les Français de se faire manipuler.

Pendant ce temps, une surveillante d’éducation est poignardée par un élève de 14 ans, et le pays étouffe sous les violences. Mais Macron, lui, carbure aux tweets et aux voyages – 11 fois le tour de la Terre, record d’évitement des réalités.