Le projet prévoyait une relocalisation des Bédouins des villages non reconnus par l'Etat vers des villes existantes, où l’infrastructure et l’industrie doit être développée.
Il était supposé que les Bédouins, en abandonnant leurs traditions, devaient obtenir en échange un logement doté d’eau et d’électricité, ainsi qu’un accès aux transports en commun, l’éducation et la médecine.