Le Pape insiste alors pour que ce sommet des 20 plus grandes économies du monde, même si la sécurité internationale n’est pas à l’agenda, puisse réfléchir sur la situation au Proche-Orient et en particulier en Syrie. Et d’ajouter : « Alors que trop d’intérêts partisans ont prévalu depuis qu’a commencé le conflit syrien, empêchant de trouver une solution qui puisse éviter l’inutile massacre auquel on assiste, les leaders des Etats du G20 ne peuvent pas ne pas agir face à ce drame vécu par la population syrienne, un drame qui risque de provoquer d’autres souffrances à une région déjà tant éprouvée. » 

Le Pape appelle donc le G20 à trouver toutes les solutions possibles pour dépasser les divergences actuelles sur ce dossier, et à abandonner la vaine prétention d’une solution militaire, en privilégiant le dialogue et la négociation.