Femen: La violente charge de Vincent Dereat
Associée à la grande bourgeoisie française dont elle est issue, une petite "élite" héréditaire et décadente, dite républicaine, fait une guerre d'extermination contre son propre peuple motivée par un puissant racisme de classe. Pour commettre cette forfaiture ultime, unique dans la longue histoire de notre pays, elle utilise une arme d'étrangers volontairement déclassés et non insérés dans notre société qu'elle fait venir à flot constant sur notre sol depuis une trentaine d'années. Une guerre de basse intensité, de prédations violentes fait rage aujourd'hui sur tous les points de notre hexagone même ceux éloignés des grandes agglomérations ne sont plus épargnés.
Les victimes sont essentiellement les Français de souche et les travailleurs d'origine étrangère honnêtes, contraints par le pouvoir en place à un individualisme forcené qui les rend d'autant plus isolés, fragiles et sans défense.
Les armes régaliennes de l'Etat que sont la Justice et la Police, malgré la bonne volonté de leurs serviteurs de base, sont entièrement dominées par l'esprit pervers et destructeur de cette aristocratie des "lumières". Si la Police se voit sciemment entravée et désarmée face à des bandes ethniques aux actes barbares en exponentielles progressions et dont elle est par ailleurs la première victime, la Justice française quant à elle n'est aujourd'hui qu'une parodie grotesque, une loterie absurde dont la seule constante est de neutraliser le citoyen qui aurait la velléité de défendre sa vie, sa famille et ses biens. A ce stade de déliquescence ce n'est plus d'une réforme dont elle a besoin mais d'une véritable épuration du même type qu'à la libération en 1944/45.
C'est dans ce cadre de guerre tous azimuts contre sa propre population que nous voyons surgir des groupuscules stipendiés et instrumentalisés comme les FEMEN. Un ramassis hétéroclite de criminelles étrangères recherchées, exemple l’Ukraine, et de Françaises qui relèvent plus de la psychiatrie lourde que de la sanction pénale.
Comment expliquer aux Français les derniers "exploits" de ces harpies; la profanation de la cathédrale Notre-Dame de Paris ?
Au moment même où nos armées combattent sur le sol malien, que le plan Vigipirate est au niveau rouge renforcé, une flopée d’excitées du bocal est venue se dévêtir à l’intérieur même de la Cathédrale, souiller ce vénérable lieu de culte catholique, en toute facilité, accompagnées de nombreux journalistes et photographes eux-mêmes très certainement prévenus par le Saint Esprit sans que la police, pourtant longtemps informée auparavant, enfin je l'espère et le suppute, ne l'empêche préventivement.
Cette action outrancière, fascisante et d'esprit totalitaire des FEMEN est volontairement blessante pour tous les catholiques mais aussi pour tous les croyants sincères qu'ils soient musulmans ou de toutes autres confessions, de même que pour les athées et agnostiques respectueux des croyances d’autrui. Cette profanation obscène n'a eu lieu qu'avec la complicité active des plus hautes sphères de l'Etat français.
Je mets ici solennellement en garde les hautes autorités policières, ces hauts fonctionnaires qui ont volontairement et en toute connaissance de cause laissés se commettre cette abjection cathophobe. Leur appartenance à des loges, fussent-elles prestigieuses, ne leur donne pas l'impunité ni le devoir de rendre les comptes dans les années à venir.
Quant aux politiques... En l’occurrence monsieur Valls, ministre de l'Intérieur, il est inutile de jouer les matamores devant les Français en leur parlant de sécurité publique. Chacun est bien conscient de ce qui se joue actuellement et cette triste barbouzerie anticatholique téléguidée, opérée par ces nervis femelles (FEMEN), ces mercenaires de la fange, auquel vous vous associez même indirectement, ne vous grandit pas monsieur le ministre des Cultes car je ne peux croire que vous n'en étiez pas préalablement informé. Auquel cas il est urgent de remettre votre démission.
Il est encore temps pour vous, de dissoudre ce groupuscule factieux, de provocatrices pornographiques semeuses de haine. D'enquêter et de divulguer leurs financements et leurs commanditaires, de les traduire devant les tribunaux et il y a lieu, ainsi que de remettre, pour celles qui sont recherchées, aux autorités judiciaires de leurs pays respectifs.