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Mardi, 24 Déc. 2024

L'article 4 sur les dérives sectaires finalement réintroduit !

Auteur : Sud Radio | Editeur : Walt | Jeudi, 15 Févr. 2024 - 13h54

Face aux "gourous 2.0" et leurs fausses promesses de guérison, l'exécutif réclamait une infraction visant à punir la "provocation" à l'abandon de soins "au moyen de pressions ou de manœuvres réitérées", qui pourrait avoir des "conséquences graves" pour la santé. C'est donc le fameux article 4 du projet de loi de lutte contre les dérives sectaires, qui mardi soir a été rejeté par une coalition des oppositions, qui dénonçaient une menace pour les "libertés publiques" et les "lanceurs d'alerte". Seulement, le député Renaissance Sacha Houlié a demandé mercredi une nouvelle délibération, au nom de la Commission des lois dont il est le président. Modifié par les députés, l'article a finalement été adopté par 182 voix contre 137. On en parle avec Nicolas Dupont-Aignan, député de l'Essonne et président de Debout la France.

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La Loi Gayssot a fait taire tous les historiens, l’article 4 fera taire tous les scientifiques !

La récente adoption de l'article 4 a suscité de vives réactions, certains dénonçant une atteinte à la liberté d'expression et une nouvelle étape vers un État totalitaire. Comparé à la loi Gayssot, qui réprime la contestation des crimes contre l'humanité, cet article vise à réprimer la provocation à l'abandon de soins. Il s'inscrit dans une tendance inquiétante de restriction des libertés individuelles.

Cette mesure a été adoptée après un débat houleux à l’Assemblée nationale, où certains députés ont exprimé leurs inquiétudes quant à son impact sur la liberté d’expression et sur le dialogue démocratique. Néanmoins, malgré les critiques, l’article a été voté avec une majorité de 182 voix pour et 137 voix contre.

Conformément à cette disposition, la provocation à l’abandon ou à l’abstention de soins sera passible d’une peine d’un an d’emprisonnement et d’une amende de 30 000 euros. Ces sanctions seront aggravées en cas de conséquences directes de la provocation, avec une peine pouvant atteindre trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende.

Les défenseurs de cette mesure, parmi lesquels la secrétaire d’État Sabrina Agresti Roubache, ont souligné la nécessité de lutter contre les dérives sectaires et complotistes, notamment sur internet, qui pourraient mettre en danger la santé publique.

Néanmoins, cette adoption suscite des inquiétudes quant à la liberté d’expression et à la possibilité pour les citoyens de remettre en question les politiques de santé publique. Certains y voient un précédent dangereux qui pourrait restreindre davantage les libertés individuelles dans le futur.

Cela nous rappelle l’opposition rencontrée lors de l’adoption de la loi Gayssot en 1990, qui a été l’objet de vifs débats et d’une opposition notable de la part de la droite parlementaire, alors majoritaire au Sénat. Cette loi, portant sur la répression de la contestation des crimes contre l’humanité, a été perçue comme une atteinte à la liberté d’expression par certains politiciens de droite.

Au Sénat, plusieurs votes de rejet ont eu lieu les 11, 29 et 30 juin 1990, illustrant l’opposition ferme de certains membres de la classe politique à cette proposition législative. Parmi les personnalités politiques qui se sont opposées à la loi Gayssot, on compte des figures influentes telles que Dominique Perben, Pascal Clément, François Fillon, Gilles de Robien, Jean-Louis Debré, Pierre Mazeaud, Jacques Chirac, Jean Foyer, Alain Peyrefitte et Simone Veil, ainsi que le député Jacques Toubon. Cette opposition soulignait les préoccupations quant à l’impact de la loi sur la liberté d’expression et son influence sur le récit historique.

Jacques Toubon, exprimant son désaccord, déclarait :

« Je suis contre le délit de révisionnisme, parce que je suis pour le droit et pour l’histoire, et que le délit de révisionnisme fait reculer le droit et affaiblit l’histoire ».

Après avoir restreint la liberté de recherche pour les historiens, le gouvernement semble désormais entraver la liberté d’expression des scientifiques. Cette tendance inquiétante pourrait conduire les citoyens à devoir se fier uniquement aux décisions politiques influencées par l’industrie pharmaceutique.

C’est comme si le silence autour de la loi Gayssot avait donné le feu vert pour la mise en place de l’article 4. Cela montre clairement comment restreindre la liberté d’expression peut ouvrir la porte à davantage de mesures restrictives.

Cela souligne l’importance cruciale de lutter contre toutes les injustices qui restreignent la liberté d’expression. En laissant une restriction passer sans réagir, nous risquons d’ouvrir la porte à d’autres formes d’oppression et de censure. Il est essentiel de défendre activement la liberté d’expression pour préserver nos droits fondamentaux et maintenir un dialogue ouvert et démocratique dans la société.

par Le Média en 4-4-2

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Article 4 – Marine Le Pen se déchaine contre Olivier Véran : « Mr Véran a dit tout et son contraire pendant la crise du Covid »

Après avoir réussi à supprimer l'article 4 du projet de loi contre les dérives sectaires, l'opposition a été confrontée à une nouvelle entourloupe. Mercredi 14 février, la macronie a réintroduit cet article, déclenchant une vive polémique et un échange musclé entre Olivier Véran et Marine Le Pen.

La macronie a ressorti l’épouvantail Véran pour abîmer la démocratie, mais il aurait mieux fait de se taire !

Olivier Véran, fraîchement revenu à l’Assemblée nationale pour défendre cet article avec toute la démagogie dont il est capable :

« Avant de venir, j’ai cherché sur Google. J’ai tapé par exemple « gourou » et « Raoult », et j’ai trouvé plus de réponses que pour « science » et « Le Pen ». Pendant la pandémie, il y a eu d’un côté nos blouses blanches au lit des malades, comme dans les laboratoires, et puis il y a eu Didier Raoult. Les premiers ont gagné notre estime et notre respect ; le second a gagné de l’argent et des disciples ».

Marine Le Pen était aussi en forme et lui a rappelé quelques vérités qui dérangent :

« Pardon, mais il y a bien une personne qui ne peut pas prendre la parole aujourd’hui, c’est Monsieur Veran, qui a dit tout et son contraire pendant la crise du Covid. Et il a dit n’importe quoi, et ça a été scientifiquement démontré. Il a osé parler de Monsieur Raoult. Alors, on va parler du Professeur Raoult, parce que c’est un sujet fondamental. Mais dites-moi, il y a pas quelques ministres qui ont été soignés par le Professeur Raoult ? Il y a pas quelques-uns de vos grands-mères présidentes de conseil régionaux qui ont été soignées par le Professeur Raoult ? Il y a pas un Président de la République qui est allé pour rendre hommage au Professeur Raout ? Et maintenant, vous le traînez dans la boue. Comme quoi, il faut conserver à tout prix la liberté de critique et la liberté d’expression. Merci de votre démonstration ».

par Yoann - Le Média en 4-4-2

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La Secrétaire d’État, Sabrina Agresti-Roubache, avait été traitée à la l’hydroxychloroquine par le Pr Raoult

Sabrina Agresti-Roubache, la Secrétaire d'État chargée de la Ville, avait témoigné en avril 2020 sur BFM TV de son expérience avec la chloroquine. Traitée par le Pr Raoult, elle en disait le plus grand bien. Cette amie très proche de Brigitte Macron avait activé en avril 2020 la visite d’Emmanuel Macron à Didier Raoult au CHU, mais s’était fait taper sur les doigts pour finalement revenir au vaccin comme seul remède.

Internet a de la mémoire… Lors de son intervention sur BFM TV, Sabrina Agresti-Roubache a raconté comment elle avait commencé à ressentir les premiers symptômes du COVID-19 un lundi. Étant asthmatique, elle était particulièrement fragile et souffrait d’énormes symptômes, notamment une sensation de brûlure dans les poumons. Elle avait tous les symptômes classiques : toux, maux de tête, sensibilité à la lumière. Elle a donc décidé de se faire dépister et a reçu la confirmation qu’elle et son mari étaient positifs au virus.

Étant donné la gravité de ses symptômes, elle a été hospitalisée immédiatement et a commencé un traitement à la chloroquine dès le vendredi matin. Heureusement, dès le vendredi soir, elle commençait à se sentir mieux et sa charge virale était en baisse. Le samedi matin, elle allait déjà beaucoup mieux.

Interrogée par la journaliste sur l’amélioration rapide de son état en 24 heures, la Secrétaire d’État chargée de la Ville a déclaré qu’elle ne pouvait pas affirmer catégoriquement que c’était uniquement grâce à la chloroquine, mais que ce qui était sûr, c’est que sa charge virale avait nettement baissé le samedi. Elle n’avait plus de symptômes tels que maux de tête et courbatures, et sa fièvre avait pratiquement disparu. Ses douleurs pulmonaires s’étaient également atténuées.

Le revirement de Sabrina Agresti-Roubache, qui a depuis présenté son projet de loi renforçant la lutte contre les dérives sectaires, met en lumière les jeux de pouvoir et les compromis qui semblent régir les décisions politiques, où les intérêts personnels et les alliances fluctuent selon les circonstances. Cette affaire soulève également des interrogations sur la crédibilité des politiciens et leur capacité à agir dans l’intérêt public plutôt que dans celui des lobbies industriels.

par Le Média en 4-4-2

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Les députés soumis (au Big Pharma) votent la loi anti-Casasnovas

L’oligarchie dispose de deux armes pour réduire la liberté d’expression : l’accusation de fascisme, qui sert pour les médias, et l’accusation de secte, qui sert pour la justice.

La première est utilisée massivement dans les médias mainstream pour maintenir le grand public dans un enclos mental qui permet à l’oligarchie de continuer à dominer, exploiter et punir.

La seconde est utilisée pour transformer une personnalité ou un collectif de résistance en entreprise de soumission mentale, et parfois physique. Il est alors loisible de condamner les dérives sectaires, qui ne sont telles que par rapport à un ordre donné, celui qui assure à l’oligarchie sa domination.

Or, par une inversion accusatoire que toutes les personnes lucides connaissent, c’est l’oligarchie qui fonctionne de manière sectaire, avec une dérive permanente par rapport à la démocratie et aux valeurs proclamées de la République, qu’elle viole structurellement.
Elle incarne aussi objectivement le fascisme d’aujourd’hui, avec son monopole de la vérité et de la violence. Le pouvoir exécutif du Président correspond au ministère de la Vérité, le pouvoir répressif de l’Intérieur à celui de la Violence.

Devant la tyrannie sanitaire établie par les gouvernements en lien avec les multinationales du Big Pharma et du Big Tech depuis 2020, ceux qui ont tenté de résister ont été qualifiés de terroristes ou de sectaires. Devant la défiance croissante de la population, qui refuse aujourd’hui massivement de se faire « vacciner », une loi, établie par la même coproduction politico-multinationale, cherche à interdire le refus de gober les médicaments et les pseudo-vaccins industriels. Le soin alternatif, l’automédication et l’indépendance vis-à-vis de l’industrie pharmaceutique sont évidemment visés derrière cette loi.

Un homme symbolise la reprise en main de sa santé au détriment du Big Pharma, c’est Thierry Casasnovas. Persécuté depuis le début du covidisme pour avoir tenu un discours libre qui ne cadrait pas avec le Nouvel Ordre sanitaire, il fait aujourd’hui l’objet d’une attention toute particulière du ministère de la Violence.

La presse, qui a perdu toute indépendance et toute crédibilité, appuie la violence gouvernementale par une désinformation permanente, qui la mène pourtant à la faillite. C’est pourquoi résister, même quand on a l’air de perdre, est si important : toute résistance affaiblit le Système médiatico-politique, la violence croissante de ce dernier en est la preuve.

Un Système accepté par tous, c’est-à-dire solide, n’a pas besoin de la violence pour se maintenir. La violence est donc consubstantielle à la fragilité d’un Système. Depuis les Gilets jaunes, le macronisme, cette extension politique de la Banque, a montré toute sa faiblesse. Un jour, pour se maintenir, devra-t-il tuer des Français ?

Quand on écoute brigitte Liso, on pourrait croire qu’elle parle des effets secondaires nocifs des faux vaccins Pfizer ou Moderna !

Cette désinformation manifeste n’est que le fruit de la corruption du politique. Brigitte Liso, avant d’être élue député Renaissance, a été visiteuse médicale – un bel euphémisme – au service du groupe GlaxoSmithKline. C’est tout naturellement qu’elle prend la tête de la défense cachée des intérêts du Big Pharma.

Pour info, le fameux article 4 avait été en première instance rejeté par la majorité des députés présents. Yahoo ! actualités écrit :

"Mais la veille, son rejet par 116 voix contre 108 avait suscité la colère du monde médical. « Prime est donnée aux charlatans », « une union sacrée protégeant ainsi charlatans et gourous allant du groupe LFI et RN en passant par LR », « le lobbying anti science est très grand dans notre pays », s’insurgeait-ils contre les députés qui avaient voté pour la suppression de cet article 4.
Dans le détail, 88 députés RN, 35 Insoumis 24 Républicains, 2 Horizons, 3 GDR (Communistes), 2 LIOT, 2 non inscrits avaient voté pour la suppression de cet article, initié par la majorité. Le Sénat avait également voté contre cet article 4".

Heureusement pour le gouvernement et le Big Pharma, un nouveau vote a permis à l’article 4, légèrement remanié, de passer (en force).

« Le lobbying anti science est très grand dans notre pays », pleurnichent les députés soumis. Par « science » dans leur bouche, il faut évidemment comprendre Big Pharma.

E&R


- Source : Sud Radio

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