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Vaccin SRAS-CoV-2 ce qu’on ne vous dit pas… De la politique eugéniste à la terreur vaccinale ?

Auteur : F.William Engdahl | Editeur : Walt | Mardi, 24 Nov. 2020 - 10h05

Bill Gates finance et promeut activement de nouveaux vaccins non testés qui sont supposés nous donner un semblant de sécurité sur une mort provoquée par un nouveau coronavirus, vaccins qui sont aussi supposés nous faire reprendre une “vie normale”. Le géant pharmaceutique Pfizer a maintenant annoncé ce qu’ils affirment être des résultats spectaculaires sur les premiers tests humains. Ils utilisent une technologie expérimentale appelée éditeur génétique et spécifiquement une méthode ARNm (ARN messager), quelque chose qui n’a jamais auparavant été utilisé dans les vaccins. Avant de nous précipiter à nous faire piquer dans l’espoir d’une immunité quelconque, nous devrions en savoir bien plus sur cette technologie médicale expérimentale et son manque de précision.

Le monde de la finance est devenu stratosphérique le 9 novembre lorsque le géant Pfizer et son associé allemand BioNTech, ont annoncé dans un communiqué de presse de l’entreprise qu’ils avaient développé un vaccin contre le CoV19 qui était “efficace à 90%”. Le patron controversé de la NIAID américaine, Tony Fauci, s’est précipité sur le bonne nouvelle et l’Union Européenne a annoncé qu’elle avait commandé 300 millions de doses de ce vaccin très cher. Si vous en croyez donc les marchés financiers, la pandémie COVID est tout ce qu’on veut sauf une histoire du passé.

Évènements suspicieux

Mais il semble qu’Albert Bouria, le PDG de Pfizer, ne partage pas la confiance de ses propres affirmations. Le jour même où sont entreprise a lancé son communiqué sur les essais de ce vaccin proposé, il a vendu 62% de son stock d’ actions Pfizer, faisant quelques millions de dollars de profit dans l’opération. Il a passé l’ordre de vente dans une option spéciale prise en août dernier afin que ceci ne paraisse pas être un délit d’initié, mais il l’a aussi planifié pour après les élections américaines et la déclaration illégitime des médias de masse de Joe Biden comme vainqueur de ces élections. Il transparaît que Bouriat avait un clair conflit d’intérêt dans le timing de son communiqué de presse en ce même jour.

Bourla a menti et a nié devant la presse que sa compagnie avait reçu des fonds de l’administration Trump pour développer le vaccin lorsqu’il s’est avéré qu’ils avaient été contracté l’été dernier pour délivrer 100 millions de doses au gouvernement des Etats-Unis. Pour ajouter aux actions déjà suspectes de Pfizer fut le fait que l’entreprise a d’abord informé l’équipe de Joe Biden plutôt que le gouvernement en place et ses agences de circonstance.

Mais ceci ne représente pas le plus alarmant au sujet de ce communiqué de Pfizer qui fut surgonflé et surmédiatisé.

L’associé allemand

Pfizer, célèbre pour son viagra et autres médicaments, s’est associé avec une petite entreprise allemande de Maïence, BioNTech, qui a développé la technique radicale ARNm utilisée pour produire le nouveau vaccin anti-corona. BioNTech n’a été fondée qu’en 2008. L’entreprise a signé un accord avec la Fondation Bill & Melinda Gates en septembre 2019 juste avant l’annonce du nouveau virus corona à Wuhan en Chine et juste avant que BioNTech n’entre sur le marché boursier. L’accord porte sur une coopération de développement de nouvelles techniques ARNm pour traiter le cancer et le virus VIH. Bizarrement, le communiqué de presse “The Gates Foundation sees BioNTech potential to ‘dramatically reduce global HIV and tuberculosis’” 05. September 2019, n’a pas été supprimé.

BioNTech a aussi un contrat avec un des plus gros producteurs de médicaments en Chine : Shanghai Fosun Pharmaceutical Co., Ltd (“Fosun Pharma”) pour développer une version de son vaccin ARNm contre le nouveau coronavirus pour le marché chinois. Ai Min Hui, président de Global R&D of Fosun Pharma a déclaré dans un communiqué datant du mois d’août dernier : “Injecter le premier sujet chinois avec le BNT162b1 est la pierre angulaire du programme de co-développement global en Chine. Nous travaillons de manière très rapprochée avec BioNTech et les autorités régulatrices pour évaluer la sécurité et l’efficacité du BNT162b1 et des autres candidats vaccins ARNm…”

Ceci veut dire que la même entreprise allemande de biotechnologie est derrière le vaccin anti-COVID qui est hâtivement fourni en Chine, aux Etats-Unis et en Europe. Le vaccin est poussé au travers des étapes afin d’être approuvé en un temps record.

Les autorité à la fois américaines et européennes ainsi que vraisemblablement chinoises, ont donné une dérogation pour sauter les tests sur animaux utilisant en général des furets ou des souris et sont passées directement aux tests sur “cobayes humains”. Des tests humains ont débuté en juillet dernier et début août. Trois mois est une période courte jamais utilisée dans les tests pour des nouveaux vaccins. La norme est de plusieurs années. A cause d’un degré sans précédent de panique établi par l’OMS à l’échelle planétaire, toute précaution est passée par la fenêtre. Tous les fabricants de vaccins ont maintenant une immunité légale, ce qui veut dire qu’ils ne peuvent plus être poursuivis en justice si des gens meurent ou sont handicapés à vie par leur nouveau vaccin.

Mais ce qui est de fait le plus alarmant au sujet de ce nouveau vaccin éditeur de gène créé par Pfizer-BioNTech et que l’ARNm pour la transformation génétique en application pour vaccin humain n’a encore jamais été approuvée auparavant. De manière notoire et notable, une étude peer reviewed sur deux ans de souris nourries avec du maïs génétiquement modifié traité au RoundUp de Monsanto riche en la substance glyphosate a d’abord montré des tumeurs cancéreuses après 9 mois ainsi que de gros dégâts à des organes comme le foie et autres. Des tests préalables de Monsanto s’étaient arrêtés à 3 mois et avaient déclaré qu’aucun dégât n’était à déplorer. Une situation similaire existe avec ce cas de vaccin à éditeur de gène ARNm qui est poussé à la vente et à la diffusion après moins de 90 jours de tests humains.

Gravé dans la pierre : Georgie, USA

“Explicitement expérimental”

Le Dr Michael Yeadon a répondu à un récent commentaire public de média social à un collègue situé au Royaume-Uni : “Tous les vaccins contre le SRAS-CoV-2 sont par définition nouveaux, aucun candidat vaccin n’a été en développement pour plus de quelques mois.” Yeadon a ensuite déclaré : “Si n’importe lequel de ces vaccins est approuvé pour son utilisation en dehors de circonstances qui ne sont pas explicitement expérimentales, alors je pense que les récipients ont été trompés et fourvoyés de manière criminelle. Parce qu’il n’y a aucun volontaire humain pour… qui il pourrait y avoir plus de quelques mois d’information disponible après injection.” Yeadon est particulièrement bien qualifié pour faire cette critique. Comme il le note dans le commentaire “Je suis diplômé en biochimie et en toxicologie et j’ai un doctorat basé sur la recherche en pharmacologie. J’ai passé 32 ans dans le domaine de la recherche et du développement pharmaceutique, essentiellement dans les nouveaux médicaments pour les troubles pulmonaires et dermatologiques. J’ai été Vice-président chez Pfizer et CEO / PDG d’une entreprise de biotechnologie que j’ai créée (Ziarco qui a été rachetée par Novartis). J’ai la connaissance requise au sujet de la recherche et du développement de nouveaux produits pharmaceutiques.” Yeadon était chez Pfizer à un haut niveau décisionnaire et d’ancienneté.

Des cobayes humains ?

Le vaccin Pfizer-BioNTech est expérimental et très loin de présenter toute garantie de sécurité, malgré que Pfizer, l’Union Européenne et le célèbre Dr Fauci semblent tout à fait prêts à le mettre en circulation publique avant même la fin de l’année et le rendre disponible à des centaines de millions d’êtres humains sur la planète. La technologie expérimentale impliquée est fondée sur une plutôt nouvelle manipulation génétique connue sour le nom de “gene editing”. Dans un article important de 2018 pour le Conseil en Relations Etrangères de New York (CFR), Bill Gates fit la promotion enthousiaste de cette nouvelle technique de transformation génétique qu’est cette technologie CRISPR comme étant capable de “transformer le développement mondial”. Il nota que sa fondation Gates finançait cette technologie de transformation génétique (gene editing) pour les vaccins et pour d’autres applications ce depuis une décennie.

Mais la technologie pour casser et couper les gènes humains est-elle si absolument sans danger que cela vaille la peine d’en prendre le risque sur un nouveau vaccin expérimental qui n’a jamais été utilisé sur les humains auparavant ? 

Contrairement à ce qu’affirme Bill Gates (NdT: qui n’a absolument aucune compétence en la matière…), la réponse scientifique est non, ce n’est pas du tout prouvé être sain ni en sécurité.

Dans un article peer reviewed d’octobre 2020 du journal Trends in Genetics, les auteurs concluent que “la portée d’évènements moléculaires possibles résultant de la transformation du génome a été sous-estimée et la technologie demeure tout à fait imprévisible et hors du point de focalisation de la recherche.”

Le Dr  Romeo Quintano, professeur à la retraite de pharmacologie et de toxicologie de Collège de Médecine de l’université des Philippines à Manille a noté quelques dangers de l’altération du génome lorsqu’appliqué aux vaccins humains. Quintano avertit “du danger que le vaccin puisse en fait ‘augmenter’ la pathologie du virus ou le rendre plus agressif sans doute à cause d’un développement dépendant des anticorps, comme cela s’est produit avec des tests sur des animaux. Si cela devait se produire lors d’essais sur les humains, les effets seraient absolument désastreux”.

“Ce sérieux et dangereux effet peut ne pas être détecté par un essai clinique et spécifiquement dans ces essais cliniques, qui sont bourrés de conflits d’intérêt impliquant ces entreprises fabricantes de vaccins. Même lorsqu’un évènement adverse est détecté, tout cela est en général balayé sous le paillasson.” Il cite le cas d’un autre candidat au vaccin ARNm de Gates, celui de Moderna, où “trois des 15 humains sujets expérimentaux dans le groupe haute dose ont souffert de symptômes médicaux sévères et significatifs. Moderna quoi qu’il en soit, a conclu que le vaccin était “généralement sain et bien toléré”, ce qu’ont rapporté bien servilement les médias dominés par les entreprises, maquillant ainsi le véritable danger…”

Il note : “ L’ARNm exogène [en provenance d’une source extérieure] est  immuno-stimulante de manière inhérente et cette caractéristique peut être soit bénéfique soit détrimentale. Cela peut produire une activité adjuvante et cela peut inhiber l’expression antigène et négativement impacter la réponse immunitaire. Les effets paradoxaux de la sensitivité immunitaire innée sur différents formats de vaccins ARNm ne sont pas complètement compris.” Quintano ajoute : “Un vaccin fondé sur l’ARNm peut aussi induire des réponses interferon de type I importantes, qui ont été associées non seulement avec l’inflammation mais aussi potentiellement avec l’auto-immunité… et cela peut promouvoir la coagulation sanguine et la formation de thromboses pathologiques”.

Quijano écrit dans cet article extensivement documenté “parmi d’autres dangers, les vaccins à vecteurs virus peuvent se recombiner avec des virus naturels et produire des virus hybrides qui auraient des propriétés indésirables affectant la transmission ou la virulence. Les conséquences d’une possible recombinaison sont pratiquement impossibles à quantifier de manière précise étant donné les moyens, outils et niveau de connaissance actuels. Les risques sont néanmoins bien réels, comme démontrée par l’émergence de virus de types mutants à l’effet pathogène accru et de sérieux évènements adverses imprévus (incluant la mortalité) suivant des campagnes de vaccination de masse et les tentatives préalables échouées de développer des vaccins chimériques (synthétiques) utilisant la technologie d’ingénierie génétique”.

Bill Gates, les fabricants de vaccins ARNm incluant Pfizer / BioNTech et Moderna, ainsi que leurs proches alliés comme le Dr Fauci du NIAID, sont clairement entre train de jouer avec le feu et les vies humaines dans leur empressement à faire pénétrer ces vaccins expérimentaux dans nos corps. Il est notable de constater que le même Dr Fauci et son NIAID possèdent la patente sur un vaccin contre la fièvre dengue connu sous le nom de Dengvaxia, promut par Sanofi-Pasteur et aussi promut comme un “vaccin essentiel” par l’OMS de Tedros (NdT: le patron de l’OMS) depuis 2016. Robert F. Kennedy Jr a noté que Fauci et le NIAID “savaient avec les essais cliniques qu’il y avait un problème avec la réponse immunitaire paradoxale”, mais ils le donnèrent à plusieurs centaines de milliers d’enfants philippins malgré tout. Il a été estimé qu’environ 600 enfants vaccinés sont morts avant que le gouvernement philippin n’arrête cette campagne de vaccination.

Il est très clair que le principe de précaution bien établi est bien douteux dans ces affaires et est ignoré par la clique Fauci, Pfizer / BioNTech, Moderna et autres alors qu’ils s’empressent de faire approuver ce nouveau vaccin ARNm contre le CoV19 (SRAS-CoV-2). La technologie à ARN messager doit encore produire un médicament approuvé, ne parlons donc même pas de vaccin…

 

Traduit de l’anglais par Résistance 71


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