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Vendredi, 19 Avr. 2024

Le confinement réduit le peuple en esclavage, il détruit l’économie réelle et prépare le terrain au vaccin

Auteur : Johan Livernette | Editeur : Walt | Vendredi, 30 Oct. 2020 - 08h46

La dictature sanitaire s’est soudainement accélérée et durcie. Il fallait s’y attendre. En quelques mois seulement, nous sommes passés du confinement au port du masque obligatoire. Puis au couvre-feu nocturne dans de nombreux départements à un nouveau confinement. Le second. Et ce dans un objectif vaccinatoire annoncé, entre autres, par Jacques Attali : « Pas de fin du confinement sans médicament et vaccin ».

 

Fausse pandémie et vraie dictature sous prétexte sanitaire

Les choses sont de plus en plus claires pour qui veut voir la réalité en face. Les réponses à nos interrogations le sont aussi à présent. Le confinement du printemps dernier fut en aucun cas nécessaire et salutaire. Pas plus que le port du masque obligatoire après qu’on nous ait annoncé qu’il est inutile ! [1] Imposer le couvre-feu en soirée s’apparente à un confinement nocturne. Cela ne fait qu’aggraver la situation économique et ne stoppera point la propagation d’un virus qui ne tue pas et ne rend même pas malade ! Enfin, le reconfinement imposé le 28 octobre par Macron, sur la base de statistiques mensongères, n’est absolument pas légitime ni nécessaire. Cela dépasse l’entendement, le simple bon sens et la raison. Il est désormais évident que cette « crise sanitaire » n’est qu’une énorme mascarade, une fumisterie. Un coup monté et piloté en haut lieu par les pontes du cartel bancaire et de Big Pharma qui seront les principaux bénéficiaires de cette crise. Même le macroniste et très peu complotiste Mourad Boudjellal l’a compris et affirmé ! La sœur de Cristiano Ronaldo considère, elle, que cette « pandémie » est « la plus grosse arnaque » qu’elle a jamais vue.

Les spécialistes de santé comme les docteurs Raoult, Perronne, Toussaint et Toubiana en attestent : il n’existe pas de seconde vague. Il s’agit d’une fausse pandémie, d’une fausse crise sanitaire que les médias instrumentalisent (sur la base de chiffres mensongers) à des fins politiques en maintenant les populations dans la psychose. Un patient a une rhinopharyngite : Covid-19 ! Un gros rhume ? Covid-19 ! Une angine ? Covid-19 ! Une pulmonie ? Covid-19 ! Un état grippal ? Covid-19 ! Et c’est ainsi que les statistiques grimpent pendant que certains médecins avouent la supercherie. La propagande de la peur fait des dégâts. Cautionnées par un conseil scientifique corrompu, les statistiques mensongères annoncées chaque jour dans les médias ont préparé le terrain à ce reconfinement. Elles tendent à justifier des mesures gouvernementales disproportionnées et indécentes au regard de la situation réelle. Comme dans le roman « 1984 », le décalage est saisissant entre le monde décrit dans les médias et la vérité du terrain. En somme, rien ne justifie un tel cirque. [2]

La censure s’intensifie

Sur le terrain, l’ambiance s’est considérablement dégradée. Les seniors masqués ont peur. Les anti-masques sont regardés de travers alors que les policiers ne servent plus qu’à fliquer pitoyablement le port du masque. Dans le même temps, le système sévit sur ses opposants réels appelés « dissidents » : prison ferme pour le « judéologue » nationaliste Hervé Ryssen, 134400 € d’amende pour Alain Soral et E&R, plaintes contre l’humoriste Dieudonné, contre Jérôme Bourbon (directeur de Rivarol), contre Salim Laïbi, censure tous azimuts sur Internet (Dieudonné, abbé Rioult, E. Michael Jones, Radio-Québec, QAnon…). Sur les réseaux sociaux, la vérité est cataloguée « fake news » par des médias subventionnés par l’État ! Facebook interdit à présent tout propos révisionniste. Ce réseau social s’apprête à censurer tous les messages anti-vaccins. De plus, avec la prolongation de l’état d’urgence, [3] la police peut intervenir où elle veut et quand elle veut. La répression contre la contestation authentique est clairement montée d’un cran. Jusqu’où ira-t-elle ? Jusqu’où ira cette dictature sanitaire ? Jusqu’à la vaccination obligatoire, c’est évident, car cette « plandémie » ne s’arrêtera qu’avec le vaccin et pas avant.

La majorité de la population s’est accommodée du masque qui empêche de respirer correctement. Les mêmes qui ont toléré cette muselière réclameront le vaccin pour sortir du confinement. Car un peuple maintenu dans la peur de la répression est prêt à tout accepter, tout subir. Prophétisés en 2010 par la fondation Rockefeller, les confinements préparent le terrain au vaccin tout en asservissant les peuples. À travers ces mesures irresponsables et désastreuses, il y a une évidente volonté de massacrer l’économie réelle des nations, le commerce local, au profit des multinationales, de l’économie fictive, celle de la haute finance qui, tel un vampire, se nourrit de dettes, de la paupérisation de la société. Le peuple doit comprendre que son ennemi n’est pas les réinformateurs que nous sommes mais bien le cartel bancaire, la Fed, BlackRock, la BCE, le FMI, Big Pharma, l’UE et leurs laquais de la politique (Macron, Merkel, Johnson, Trudeau…) qui valident les décisions oligarchiques prises dans des cercles occultes.

La vie en société est morte en 2020

Le premier confinement n’a rien solutionné. Les mesures prises lors du second sont toutes aussi incohérentes. Elles vont détruire nombre d’entreprises mais aussi de couples. À cause d’un simple virus, nul n’a désormais le droit de se balader seul dans sa ville, de pratiquer un sport, de voyager, de voir un ami ou sa famille. La vie en société est morte en 2020. Vivre en homme libre est devenu impossible. En revanche, s’amasser dans les centres commerciaux, les transports en commun et les écoles est autorisé. Sous prétexte de « protection sanitaire », le citoyen français a uniquement le droit, en 2020, de travailler, de s’agglutiner dans le métro puis de rester enfermé à son domicile, en mettant une muselière pour sortir à deux pas de chez lui ! [4] Tel est l’esclavage moderne imposé à la majorité opprimée.

L’augmentation du chômage ne règlera pas le problème du coronavirus. Les dirigeants de la république française le savent très bien. Mais c’est pourtant le chemin que prennent les nations. Le coronavirus est un accélérateur de crise, un marchepied vers un nouveau monde. Le virus aura bon dos. Il justifiera une crise économique qui sera comparable voire pire à celle de 1929. C’est donc vers le chaos social que nous nous dirigeons. Et par conséquent vers l’autonomie et la survie.

Avec ce virus, les architectes du désordre mondial -qui n’apparaissent jamais en première ligne dans les médias (contrairement à Bill Gates et Macron)- ont trouvé un bon prétexte pour faire basculer le monde vers un nouvel ordre, avec de nouvelles normes. C’est cela le Nouvel Ordre Mondial que nous annonçons depuis plus de 10 ans dans nos livres, vidéos et articles. À un problème international, la réponse sera internationale et la nouvelle gouvernance mondiale. C’est ce que les dits « complotistes » ont averti depuis des années et qui est en train de se produire en temps réel, sous nos yeux. La société française est à un tournant critique de son histoire. Alors que la mortalité reste stable, les restrictions se durcissent. Les sanctions tombent. Nos libertés s’amenuisent. La dictature mondialiste est en marche. Dans certains pays comme le Canada, l’Irlande et l’Australie, elle est aussi sévère voire pire que chez nous.

Rassemblements non autorisés et… autorisés

Alors que la dictature sanitaire se poursuit, l’infâme Jorge Mario Bergoglio a annoncé, sous influence LGBT, qu’il défend l’union civile des homosexuels. Et alors que la république réprime tout regroupement de plus de 6 personnes, des rassemblements massifs (par milliers) ont eu lieu pour rendre hommage à Samuel Paty, professeur décapité par un jeune tchétchène islamiste. Mais là visiblement, quand il s’agit de s’offusquer d’un fléau (le terrorisme islamique) qu’elle a elle-même désigné [5] après l’avoir permis sur le sol français, la république tolère. Alors que pour tout autre rassemblement, elle sanctionne.

Malgré les faits, les incohérences gouvernementales, malgré la dictature en marche, malgré cet asservissement programmé, toutes ces mesures absurdes, ces réductions de liberté, cet empêchement illégitime de vivre normalement, le peuple ne se réveille pas et se soumet. Et devant la crainte de la répression, il y a très peu de réactions et il n’y aura probablement pas de sursaut humain, les gaulois réfractaires s’étant perdus dans les vaines espérances des gilets jaunes. Dès lors, il reste la providence, pour ceux qui y croient.

Orphelin de son roi, ayant perdu la foi et ses convictions religieuses, le peuple français court à sa perte. Il est pris dans la tenaille de cette république talmudo-maçonnique qui va lui faire boire le calice jusqu’à la lie. Dominé par une caste financière aux aspirations diaboliques, ce monde a perdu la raison. Il sombre dans la folie. Les châtiments arrivent. Les épreuves doivent nous rapprocher de Dieu, comme c’est le cas pour Hervé Ryssen qui est sur la voie de la conversion. Une lueur d’espoir dans cette actualité bien morose.

Notes:

[1] La plupart des masques sont même nocifs pour notre santé.

[2] Comme l’a par ailleurs affirmé la sénatrice marseillaise Samia Ghali.

[3] Prolongation de l’état d’urgence, reconfinement et dictature sanitaire totalement approuvés par Marine Le Pen qui démontre, une fois de plus, qu’elle ne vaut pas mieux que Macron et consorts.

[4] La suite logique serait de couper Internet afin que le peuple soit totalement et exclusivement sous l’emprise de la propagande des médias subventionnés par l’État.

[5] Terrorisme parfaitement condamnable qui sert surtout à diviser le peuple et à le maintenir dans la peur.

***

Le sanitarisme en ripoublique.fr

…après le sionisme, le climatisme, l’identitarisme

Ces quatre -isme marchent en gros par paire. Quand le sionisme patine, l’identitarisme prend la relève sous le vocable « séparatisme » . Quand le climatisme est dénoncé par les gens intelligents (Gilets Jaunes) et pas par les « instruits » intoxiqués au c02, une nouvelle terreur est installée au nom de la santé : on enferme les gens.

Tous ces instruments idéologiques sont aux mains d’un banquier de chez Rothschild, désigné par la ploutocratie pour lui permettre d’accroître ses profits au détriment de la majorité du peuple, pauvre ou en voie de l’être. Ces instruments sont régulièrement affutés depuis l’automne 2018 qui a vu -enfin- la ré-émergence de la lutte des classes, celle de ceux d’en bas, les Gilets Jaunes, car celle d’en haut ne s’en était jamais privée comme l’avait déclaré Warren Buffet en 2006 : « c’est ma classe, les riches, qui a déclaré cette guerre et c’est elle qui est en train de l’emporter. »

La dernière séquence a été marquée par un président {(mentalement dérangé selon son homologue turc)} décidant de poursuivre la campagne raciste et anti-pédagogique de diffusion de caricatures pornographiques auprès de très jeunes enfants. Ce n’était qu’un apéro pour souder la classe politico-médiatique afin d’annoncer la ré-installation de la dictature sanitaire, programmée depuis longtemps dans le but de mater la contestation sociale. Toutes les études sérieuses ont montré que l’incarcération {(pudiquement baptisée « confinement »)} entraînait beaucoup plus de décès qu’elle ne sauvait de vies.

Le prétexte est à nouveau la saturation des services de réanimation des hôpitaux. La Chine, pays en développement accéléré, a montré son savoir-faire en construisant un hôpital à Wuhan en dix jours. Et la France, pays en voie de sous-développement vertigineux, n’a pas pu changer l’état délabré de son service de santé en six mois ! Si les compétences hexagonales étaient insuffisantes, il suffisait de demander à la Chine de venir construire les espaces nécessaires, de revaloriser les conditions de travail et les salaires du personnel soignant, voire d’embaucher le temps nécessaire des spécialistes étrangers en renfort. Le coût ? Une plaisanterie si on va chercher l’argent dans les poches des milliardaires qui contrôlent l’information conjointement avec le service de propagande du régime (France-TV, Radio France).

Après les énormes mobilisations allemandes, des exemples encourageants nous viennent d’Italie avec de premières manifestations pour la Liberté à Naples , à Rome, à Turin ], à Milan.

La seule question qui importe maintenant est de savoir si les moutons français seront capables de refuser l’inacceptable, quel que soit leur statut, origine, opinion politique. Quelques premières réactions, de droite avant discours et après oukaze présidentiel, de gauche

Devant l’urgence de sauver notre santé contre un enfermement mortifère, toutes les options sont bonnes : pourquoi pas un séparatisme local, du type qui a semblé se manifester à Marseille quand la région était ostracisée ? Car l’unité de cette ripoublique ne semble vraiment pas indispensable.

Le meilleur moyen d’éviter une guerre civile serait sans doute de réintroduire dans la constitution, cet article de celle de 1793 :

« Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs« .

Ce qui était déjà proposé en 2017 par Denis Dupré

Source : Volopress

Illustration : Dans la ville épicentre de l’épidémie du virus, un bâtiment pour soigner les malades est sorti de terre en à peine dix jours.


- Source : Johan Livernette

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