Professeur Raoult & chloroquine : pourquoi tant de haine ?
En France, la chasse à l’homme est lancée :
- Une association d’infectiologues a porté plainte contre le Pr Raoult auprès de l’Ordre des médecins. Cette association a touché plus de 600 000 euros de l’industrie pharmaceutique en 3 ans[1], et son président a été photographié avec un ruban « Gilead » autour du cou ;
- Le Dr Vidal, président d’une association connue pour son combat anti-homéopathie, a déclaré publiquement « Le Pr Raoult devrait être interdit d’exercice» (dans la même interview, il fustige les « charlatans » qui recommandent des jus de légume et des jeûnes…)[2] ;
- Le Pr Philippe Sansonetti, grand pape de la vaccination sans esprit critique, fustige sur Europe 1 l’attitude « complotiste et populiste » du Pr Raoult[3].
Pourquoi un tel acharnement ?
Il y a deux raisons.
D’abord, les succès du Pr Raoult jettent une lumière crue sur les échecs lamentables de nos autorités politiques et sanitaires :
- En mars et avril, quand le Ministre Olivier Véran disait qu’il ne servait à rien de tester massivement, le Pr Raoult et son IHU de Marseille étaient les seuls en France à faire suffisamment de tests, une stratégie payante recommandée aujourd’hui par le même Olivier Véran !
- Dès le début, le Pr Raoult s’est montré très critique envers le confinement extrémiste imposé en France en mars-avril… et l’histoire est en train de lui donner raison : la Suisse s’en est mieux sortie avec un confinement « light », et la Suède qui a refusé de confiner semble s’être définitivement débarrassée de l’épidémie !
- Alors que le gouvernement n’a cessé de chercher à faire peur, le Pr Raoult passe son temps à rassurer les Français, avec une analyse raisonnable de la situation – il a montré qu’il n’y a pas eu plus de morts à Marseille en 2020 qu’en 2018… ce n’était donc pas une pandémie apocalyptique !
- Sur les masques, le Pr Raoult demande de raison garder : à ce jour, il n’y a aucune preuve scientifique en faveur du masque obligatoire généralisé, et on sait que le port du masque est franchement absurde dans la rue, sur la plage ou à moto !
- Même prudence raisonnable sur les vaccins anti-Covid : le Pr Raoult a dit dès le départ que c’était un « défi idiot », puisqu’on n’a jamais réussi à faire un vaccin efficace et sûr contre un coronavirus, et dans le meilleur des cas, le vaccin arrivera quand l’épidémie sera terminée.
Avec les vaccins on touche à la cause profonde de la détestation du Pr Raoult par l’establishment.
La vérité, c’est que le Pr Raoult met en danger les profits de l’industrie pharmaceutique.
Car le Pr Raoult est un des très rares « grands pontes » à être 100 % indépendant de Big Pharma.
Son IHU est entièrement financé par de l’argent public.
Et de toute façon, le Pr Raoult n’a jamais été intéressé par l’argent : il vit avec sa femme dans une habitation modeste.
Ce qui le passionne, c’est la science, la médecine, et la vérité.
Attention : cela ne veut pas dire qu’il a raison sur tout, tout le temps.
Mais c’est un grand médecin qui n’est pas lié aux pouvoirs de l’argent, et sa parole est précieuse.
C’est parce qu’il est indépendant qu’il a recommandé des molécules peu coûteuses contre la Covid, comme l’hydroxychloroquine et l’azithromycine.
C’est courageux, car il y a une omerta hallucinante contre les remèdes anciens efficaces contre le virus.
On n’en parle pas dans les médias, mais de nombreuses molécules naturelles sont en train de faire la preuve de leur grande efficacité : c’est le cas en particulier de la vitamine D[4], mais aussi du zinc[5] – le zinc faisant d’ailleurs partie du protocole Raoult[6].
Des chercheurs indépendants aux États-Unis et en Afrique ont montré l’énorme intérêt de médicaments anciens, comme l’ivermectine[7] (si vous n’en avez pas entendu parler, c’est normal, aucun labo ne gagne quoi que ce soit à en faire la promotion, mais cette molécule est active contre la Covid et utilisée dans plusieurs pays).
Et puis, bien sûr, il y a l’hydroxychloroquine, la molécule préférée du Pr Raoult.
Ce médicament à 5 euros est la bête noire de l’industrie pharmaceutique depuis le début.
Je vous ai montré dans mes précédentes lettres :
- Comment des autorités de santé, des grands scientifiques et des journaux médicaux réputés ont essayé de faire croire que c’est un « poison mortel », alors que c’est un des médicaments les plus sûrs au monde[8], avalé par des centaines de millions de patients ;
- Et comment la vérité scientifique sur son efficacité a été masquée par des études manipulées et par une omerta totale sur les nombreuses études favorables[9].
Personne ne prétend que l’hydroxychloroquine est un « médicament miracle », qui marcherait à tous les coups.
Mais il existe aujourd’hui un nombre incroyable d’éléments qui pointent vers une efficacité certaine.
Je voudrais les partager avec vous, car ils prouvent à quel point la guerre contre ce médicament relève de la folie furieuse.
Un traitement utilisé dans le monde entier… avec succès !
D’abord, il faut couper le cou au préjugé selon lequel le Professeur barbu de Marseille serait le seul médecin au monde à proposer ce médicament.
Les deux pays les plus peuplés au monde, l’Inde et la Chine, utilisent largement ce médicament.
La Chine a récemment mis à jour ses recommandations contre la Covid-19.
Or parmi les nombreux traitements recommandés officiellement, on trouve bien la chloroquine (qui a un atome d’oxygène de différence avec l’hydroxychloroquine)[10].
Quant à l’Inde, elle utilise massivement l’hydroxychloroquine, à la fois en traitement[11] et en prévention (donc pour des personnes qui ne sont ni malades, ni testées positives Covid[12]).
Et il y a beaucoup d’autres pays qui utilisent largement ce médicament : l’Indonésie, la Turquie, le Brésil, la Russie, Israël, la Grèce, le Costa Rica, le Panama, l’Algérie, le Maroc, le Sénégal, etc.
Et aucun de ces pays n’a eu à s’en plaindre, bien au contraire !
Le Sénégal est aujourd’hui cité en exemple pour sa gestion de la Covid[13]… et c’est un des pays qui utilise le plus l’hydroxychloroquine (peut-être parce que le Pr Raoult y est né !).
Le Ministre de la Santé de l’Algérie s’est récemment félicité des excellents résultats de l’usage massif de la chloroquine, décidé dès le mois de mars[14].
Au total, des chercheurs indépendants ont fait le calcul : sur 1,8 milliards de personnes dans différents pays au monde, ceux qui habitent dans les pays où la prescription d’hydroxychloroquine a été encouragée à des stades précoces ont subi 76 % de mortalité en moins que les habitants des pays qui l’ont interdit ou boudé[15].
Bien sûr, ce n’est pas une preuve, car il peut y avoir beaucoup d’autres raisons qui expliquent cette différence.
Par exemple, ce sont principalement des pays en développement (moins influencés par Big Pharma) qui ont recommandé la chloroquine – or ce sont des pays où il y a moins de personnes âgées, moins d’hypertension et de diabète que dans les pays occidentaux.
Mais si l’on y regarde de plus près, les « coïncidences » en faveur de l’hydroxychloroquine sont très nombreuses.
Prenez la Grèce : avec une population très âgée et plus de la moitié de ses habitants en surpoids, on aurait pu s’attendre au pire[16].
Mais dès le début de l’épidémie, le pays a commandé 5 tonnes de chloroquine et l’a utilisée massivement, à l’hôpital et en ville[17].
Résultat : en juin, la Grèce faisait partie des pays les moins touchés par la mortalité Covid, et sa gestion de crise a été saluée par l’Organisation Mondiale de la Santé.
Ce qui s’est passé au Panama est encore plus intéressant.
Ce petit pays a retiré l’hydroxychloroquine après l’étude frauduleuse du Lancet, puis l’a réintroduit quelques semaines plus tard.
Le résultat est frappant :
- La mortalité était stable lorsque l’hydroxychloroquine était recommandée ;
- Elle a brutalement augmenté après son interdiction…
- Et puis elle a nettement reculé quand le médicament a de nouveau été autorisé.
C’est ce qu’on voit bien dans le graphique ci-dessous :
Vous me direz peut-être que c’est une coïncidence, et en effet c’est possible.
Mais il faut expliquer aussi pourquoi le Costa Rica, qui a été le premier pays d’Amérique centrale à adopter massivement l’hydroxychloroquine, s’en est mieux sorti que ses voisins.
Il faut expliquer aussi pourquoi, au Brésil, une région du Nord a eu de meilleurs résultats que les autres !
Il s’agit de la région de Parà qui a immédiatement importé 90 000 doses d’HCQ et 75 000 doses d’azithromycine et les a distribuées aux personnes infectées par la Covid[18].
Résultat : la mortalité a subitement reculé, alors que dans le reste du Brésil, qui n’utilisait pas (encore) le protocole Raoult, la mortalité est restée stable.
Selon le Pr Harvey Risch, spécialiste en épidémiologie de l’Université de Yale, ce qui s’est passé dans cette région est « une expérience convaincante, à grande échelle, montrant l’efficacité de HCQ + AZ pour sauver la vie des personnes à haut risques infectées par le Sars-Cov-2 ».
Aux États-Unis aussi, les États ont eu des stratégies médicales très différentes, certains interdisant purement et simplement l’hydroxychloroquine.
Eh bien la mortalité a été deux fois plus élevée dans les Etats où l’hydroxychloroquine était difficile à obtenir, par rapport à ceux où la prescription de ce médicament n’était pas restreinte[19].
Encore une fois, et je dis cela sans ironie, ce n’est pas une preuve formelle.
Mais il est intéressant de noter que toutes ces observations vont plutôt dans le même sens.
Et ne croyez-pas que je fais du « cherry-picking » : j’essaie de regarder les faits avec neutralité, et je me garde bien de choisir uniquement les faits qui sont favorables à l’HCQ.
De fait, comme vous le savez, je n’ai aucune raison particulière d’être « pour » ou « contre » ce médicament.
Mais un large faisceau d’indices m’a convaincu de son intérêt… comme ce qui s’est passé dans les maisons de retraite.
Les maisons de retraite : un exemple fort !
Dans la plupart des pays occidentaux, près de la moitié des morts du Covid ont eu lieu en maison de retraite.
C’est bien le lieu où les gens ont le plus de risque de mourir de cette maladie.
C’est tragique humainement, mais c’est instructif médicalement et statistiquement.
La raison pour laquelle les traitements anti-Covid sont difficiles à évaluer, c’est que la plupart des gens guérissent tout seul.
Par exemple, l’armée américaine n’a connu que 7 morts sur 40 000 cas positifs, ce qui donne un taux ridicule de mortalité de 0,02 %[20].
Évidemment, les militaires ont moins de 65 ans et sont plutôt en bonne santé.
Mais c’est un exemple révélateur de la difficulté d’évaluer un traitement.
Tenez-vous bien : si on avait fait une étude randomisée sur ces 40 000 militaires, avec 20 000 militaires prenant de l’hydroxychloroquine, et les 20 000 autres qui prennent un placebo…
…et si le groupe ayant bénéficié du médicament avait eu 1 seul mort, contre 6 morts dans le groupe placebo…
…et bien les scientifiques n’auraient pas pu conclure à l’efficacité de l’HCQ, car la différence entre les deux groupes n’est pas « significative » statistiquement.
Et on parle ici d’une étude sur 40 000 personnes, alors que la plupart des études portent sur 200 patients !
Tout le drame de l’hydroxychloroquine, c’est qu’il faudrait des études énormes pour prouver définitivement son efficacité, sur l’ensemble de la population.
Mais si vous concentrez votre étude sur les maisons de retraite, c’est différent.
Car les résidents sont très âgés et souffrent souvent de pathologies chroniques : leur risque de mourir de la Covid (ou de n’importe quelle infection) est donc élevé.
Il n’y a donc pas besoin d’avoir des centaines de patients pour voir si un médicament fonctionne !
Rien qu’à l’œil nu, certaines « belles histoires » sont significatives.
Comme cette maison de retraite, dans le Texas, où 56 résidents et 33 membres du personnel ont été testés « positifs »[21].
Avec une létalité de 10 %, on aurait pu s’attendre à 5 morts, minimum.
Mais le médecin chef a pris une décision : il a administré le protocole Raoult à tous les résidents, dès qu’ils avaient des symptômes.
Résultat : 1 seul mort, un patient qui n’avait pas eu le temps de bénéficier du traitement.
Et ce n’est pas un cas isolé.
L’équipe du Pr Raoult a effectué un dépistage précoce dans certaines maisons de retraite de Marseille, et a pu administrer son protocole à beaucoup de résidents.
Résultat ? Il y a eu nettement moins de morts chez les patients qui ont bénéficié de son protocole[22].
Des résultats similaires ont été trouvés par des scientifiques de la Principauté d’Andorre – qui n’ont pourtant rien à gagner à faire la promotion du protocole Raoult[23] !
A Andorre, les résidents qui ont reçu le protocole Raoult ont guéri à 88 %, contre 38 % chez ceux qui ne l’ont pas reçu.
Encore une fois, ce ne sont pas des études randomisées, donc on ne peut pas exclure que les patients qui ont reçu le traitement étaient en meilleur état que les autres, au départ.
Mais cela fait tout de même beaucoup de faits qui vont dans le même sens.
En région parisienne, le groupe hospitalier Le Raincy-Montfermeil a publié une étude rétrospective de l’effet du protocole Raoult chez des patients très âgés et a conclu à un « bénéfice réel »[24]
Au Brésil, un grand prestataire de santé, Prevent Senior a adopté le protocole Raoult pour ses clients dès le début de l’épidémie.
Et le résultat est incroyable : chez Prevent Senior, qui compte pourtant 112 000 utilisateurs de plus de 79 ans, il y a eu moins de morts au 1er semestre 2020 qu’au 1er semestre 2019[25] !
Autrement dit, chez Prevent Senior, une institution qui a détecté et traité très tôt ses patients, comme le recommande le Pr Raoult, les résultats sont excellents, comme si l’épidémie de Covid n’avait pas existé !
Au total, vous avez peut-être la tête qui tourne avec tous ces chiffres.
Mais retenez au moins une chose : il n’y a pas qu’à l’IHU de Marseille qu’on croit dur comme fer à l’efficacité de l’hydroxychloroquine.
Ne croyez pas à la fable du « gourou marseillais »
Aujourd’hui, on veut vous faire croire que l’IHU de Marseille est un petit village d’irréductibles gaulois menés par un druide étrange et qui croient à l’efficacité de leur traitement, envers et contre tout.
Mais la réalité, c’est que partout dans le monde, des autorités de santé et des grands médecins plébiscitent le protocole Raoult.
Tout récemment, c’est bien le protocole Raoult qui a été recommandé par 20 médecins américains, menés par le Professeur d’épidémiologie de l’Université de Yale, Harvey Risch, dans une étude publiée dans la prestigieuse American Journal of Medicine[26].
Cela ne veut pas dire que ce protocole est parfait, ni complet – je suis le premier à regretter l’absence de vitamine D, sans même parler de la quercétine, de l’Artemisia Annua ou des huiles essentielles.
Mais n’oublions jamais que l’observation des médecins de terrain a de la valeur – moins de valeur qu’une étude bien faite, mais beaucoup plus que des études frauduleuses !
C’est pourquoi je voudrais conclure avec cette déclaration récente du Pr Perronne :
« Au tout début de l’épidémie, j’ai des collègues âgés, retraités, qui étaient tombés malades, qui se sentaient mourants prêts à aller à l’hôpital, ils ont pris le traitement (du Pr Raoult) et tous m’ont dit, « en 24-48h j’étais ressuscité ».
Et c’est ce que moi j’ai vu dans le service, ce que les aide-soignant et les infirmières du service ont vu, le traitement marche extrêmement rapidement s’il n’est pas donné trop tard. »[27]
Sources:
- Source : Santé Corps Esprit